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Changement de rôle !
Datte: 29/07/2019, Catégories: fh, hplusag, fplusag, couleurs, couplus, cocus, Collègues / Travail vacances, fsoumise, miroir, BDSM / Fétichisme 69, préservati, pénétratio, fsodo, échange, yeuxbandés, confession,
... Manifestement, c’est à son travail. Elle nous fait un signe de la main. Elle est toute souriante. La porte. On entend distinctement frapper à la porte et la voix d’Éloïse dire « entrez ». Il entre. C’est manifestement Abdou, grand et jeune noir avec la combinaison que nous a décrit sa patronne. Il referme la porte. — Vous avez bien vérifié ? (La voix de François).— Oui. Tout le monde est parti. Veille de fête, les gens partent plus tôt. J’ai bien fermé l’entrée.— C’est bien ! Merci d’être venu. Je vous rappelle que rien ne doit sortir de ce bureau. Et qui si cela se passe bien, nous pourrons vous revoir.— C’est promis.— Asseyez-vous dans le fauteuil. La caméra vise la femme derrière son bureau. — À toi, dit François. Montre à Abdou et nos amis combien tu es salope. Elle se lève. Elle avance, fait le tour de son bureau pour se placer en face de l’homme. Elle commence. Lent effeuillage qui montre déjà que les dessous qu’elle porte sont très chauds. Elle est nue. Elle fait lever l’homme. Elle tire sur le fameux zip. Il est en slip. Slip déjà déformé par une bosse. Elle lui enlève le slip. Il bande. Elle le fait rasseoir. Elle s’assied sur son bureau face à l’homme. Elle s’assied, mais en reculant place ses pieds sur le meuble, jambes fléchies, cuisses ouvertes. L’homme a la vision parfaite sur la chatte. Chatte lisse. Elle se caresse. Elle fixe l’homme alors qu’elle s’introduit deux doigts dans la fente. Elle se caresse les seins. Quelques dizaines de secondes suffisent pour ...
... qu’elle jouisse. Totale impudeur devant Abdou dont la tige semble ne jamais cesser de grandir. Un regard vers la caméra avec un clin d’œil vicieux. — Suce-le. Depuis le temps que tu en avais envie. À genoux devant le mandrin noir elle l’enveloppe de sa langue, ses lèvres s’ouvrent, le gland disparaît. Abdou regarde et apprécie. On sent sur son visage que c’est bon. — Prenez-lui la tête. Baisez-là. Elle en rêve depuis longtemps. C’est une pute. Elle aime ça ! L’homme ne se le fait pas dire deux fois. Ses mains se saisissent de la tête d’Éloïse et la poussent pour qu’elle gobe la longue tige. La caméra est au plus près. Elle montre que la figure bien maquillée se transforme peu à peu. Quelques secondes de ce traitement et François fait arrêter. Il tend une capote à sa femme. Elle se charge d’ouvrir l’enveloppe et de dérouler le latex sur la tige. — Sur ton bureau, sale pute. Éloïse, le visage ravagé va s’allonger sur son bureau, sur le ventre, les seins s’écrasant sur le bois, les jambes écartées, la croupe offerte. — Allez-y, baisez-la, cette salope. L’homme se place entre les cuisses, sa queue maintenue horizontale par sa main. — D’un coup. Elle aime quand on la prend avec force. L’homme obéit. Le gland entrouvre la fente et d’un coup de rein Abdou la possède à fond. Mais son impatience est évidente, il commence aussitôt à la bourrer. — Tu le sens hein. Tu en rêvais de sa grosse bite noire. Vicieuse. Perverse. Cochonne.— Oui. Oui. C’est bon. Merci mon chéri. Fais de moi une ...