Sur le Tour de France
Datte: 01/09/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... Cochonne ! s'exclama Juliette. - C'est un de mes vieux trucs quand j'ai envie de baiser et que je ne veux pas le dire, expliqua la quinquagénaire. - Je retiens, dit Marianne. De fait, la journée de repos se profilait pour le lendemain et le principal effet de la narration de Sylvie avait été que Marianne et Juliette avait rejeté au second plan (et même plus loin) leur culpabilité conjugale. Leur bas-ventre avait pris l'ascendant sur leur tête et elle ressentait un manque que seule une bite pouvait combler, à très court terme. Les trois femmes avaient organisé leur rendez-vous avec leur amant potentiel. Finalement, Marianne devait ouvrir le bal car le journaliste belge assurait qu'il serait libre très tôt, au contraire du vigile cher à Juliette. Le photographe attendrait un peu vu que Sylvie était désormais moins dans l'urgence. Durant tout l'après-midi, Marianne se montra fébrile. Elle avait revêtu une robe légère boutonnée sur le devant, sauf les trois du haut, si bien que les usagers des Télécoms avaient une vue plongeante sur son somptueux sillon mammaire lorsqu'ils venaient réclamer une communication. Du coup, certains s'attardaient inutilement. Juliette se sentit obligée de s'aligner en laissant deviner ses seins durs dépourvus de soutif sous son tee shirt moulant. Stéphane, le journaliste belge, montrait la garde auprès de sa future maîtresse des fois qu'elle aurait eu des velléités d'aller voir ailleurs. Histoire d'assurer son avantage, il lui chuchota à l'oreille ...
... qu'il lui promettait une bite de 20cm, ce qui fit éclater de rire Marianne. - Vantard ! se contenta-t-elle de lui répondre. Sans pour autant le renvoyer paitre. Tous deux étaient à un âge où on ne se perd plus en vaines séductions lorsque l'envie de baiser ensemble est là, ce qui était le cas. Enfin, l'heure du rendez-vous arriva pour la pulpeuse blonde et son Belge barbu. Leurs ébats étaient prévus dans une des grandes résidences hôtel de la station montagnarde où les trois techniciennes étaient destinées à habiter durant la journée de repos et la nuit suivante. La pièce était nantie d'un grand lit et de deux petits lits superposés. Dès l'entrée, le couple entra dans le vif du sujet. Une heure, c'est court pour une découverte et il ne fallait pas se perdre en préliminaires verbaux. Tout en se roulant des pelles, Marianne et Stéphane basculèrent sur le grand lit, leurs mains déjà en action. Le Belge avait très vite investi la mince culotte de la technicienne qui vola dans la pièce et l'homme fourra son groin dans l'entre-cuisses de sa partenaire qui gémit de plaisir. La barbe fut illico barbouillée de cyprine mais le Belge prolongea un peu sadiquement son exploration linguale, allant même jusqu'à titiller l'anus en prévision de. Puis il déboutonna sa robe, révélant un soutif abondamment rempli dont sa propriétaire se débarrassa elle-même, libérant deux globes lourds aux pointes érigées. L'homme libéra alors son membre, parfaitement décalotté, prêt à l'emploi, tendu comme un arc, ...