Sur le Tour de France
Datte: 01/09/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... dehors, et intima l'ordre au photographe de se mettre debout afin qu'elle puisse le sucer "par en dessous". En d'autres termes, gober ses couilles tout en le branlant. Juliette et Marianne apprécièrent le savoir-faire de leur collègue car le photographe ne tarda guère à présenter une érection plus qu'honorable. Mais Stéphane se sentit aussi inspiré par la chatte de la quinquagénaire, généreusement exposée pendant la succion, et s'offrit à la lécher tout en continuant de se faire branler par Juliette. Sylvie lui témoigna sa reconnaissance en lui agrippant la nuque si bien qu'il apparut une petite compétition entre le photographe et le Belge, renaissant de ses cendres, pour l'enfiler. La quinquagénaire accorda un droit de préemption au photographe, à charge pour lui de céder la place à son concurrent quand il se sentirait mollir. Et c'est ainsi que la dernière arrivée fut honorée par deux hommes successivement, Juliette devenant une spectatrice attentive et même active en stimulant manuellement Stéphane par des pressions sur ses couilles tandis que Marianne continuait de bramer de plaisir d'une voix de plus en plus rauque sous les assauts infatigables du vigile noir. A la demande de la pulpeuse blonde, menacée d'épuisement, qui réitérait les "viens viens", le vigile finit par éjaculer, presqu'en même temps que Stéphane que cette atmosphère de ...
... puissant érotisme et d'odeurs sui generis avaient fini par surexciter. Et c'est Juliette qui trouva la formule synthétique : - Quelle partie de cul ! Il faut vraiment être sur le Tour pour voir ça. Et le faire. Un éclat de rire général lui répondit. - Il était temps car je vous rappelle qu'on remonte à Paris après-demain, rappela Sylvie. Effectivement, il ne restait plus que deux étapes, qui ne furent pas de trop pour permettre à nos trois techniciennes de récupérer, et surtout de présenter une bonne contenance pour ce qui concerne les deux en couple, à savoir Marianne et Juliette. A Paris, elles furent accueillies par leur petit mari ou compagnon, tout contents de retrouver leur dulcinée après trois semaines et demie de diète sexuelle. - Cela va être notre fête ce soir mais je suis un peu mâchée depuis l'Alpe d'Huez, confessa Marianne au creux de l'oreille de Juliette. - Et moi donc. Il va falloir peut-être un peu simuler... Surtout après la séance qu'on a connue. Mais bon, on ne peut pas leur faire l'affront d'une pénitence, ils auraient des doutes. L'histoire ne dit pas ce qui se passa la nuit de l'arrivée dans le lit conjugal des deux techniciennes. En revanche, leur amie Sylvie, libre de toute attache, put effectuer une prolongation avec le jeune photographe, tout aussi libre qu'elle. Et entamer une liaison sans doute assez peu durable...