Sur le Tour de France
Datte: 01/09/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
L'histoire que je vais raconter aujourd'hui évoque un groupe de femmes méconnu, à savoir les techniciennes de Télécom intégrées dans des "brigades" sur les grands événements internationaux (sportifs, politiques, culturels...). Des femmes de tous âges, volontaires pour partir souvent et longtemps loin de chez elles, mandatées pour épauler dans leurs communications téléphoniques et numériques les journalistes, les officiels etc. L'histoire se passe il y a quelques années sur le Tour de France cycliste. Chaque soir, après l'étape, une vingtaine de techniciennes se trouvaient derrière leurs bureaux en relation avec plusieurs centaines de journalistes, ce qui induisait au fil des jours des contacts amicaux, voire davantage... Nous nous intéresserons plus particulièrement à trois d'entre elles, assez représentatives de l'ensemble de cette petite collectivité. D'abord, Juliette, 27 ans, petite brune vive à queue de cheval et au corps musclé de sportive, célibataire mais en concubinage avec un garçon de son âge resté à Paris. Ensuite, Marianne, 38 ans, fausse blonde pulpeuse avec de bonnes joues et les cheveux coupés court, mariée, deux enfants, adepte inconditionnelle de la robe, le plus souvent très échancrée devant comme derrière. Enfin, Sylvie, 50 ans, divorcée, très classe dans son apparence avec un chignon permanent et des tenues toujours soignées, soulignant un corps harmonieux avec des formes bien proportionnées. Durant la première semaine, les techniciennes prenaient ...
... leurs marques, autant avec leur matériel qu'avec leurs interlocuteurs et avec la vie itinérante. Tout commençait à changer durant la deuxième semaine. Autant les hommes que les femmes commençaient à ressentir des besoins sexuels du fait de l'éloignement de leurs conjoints, compagnes ou compagnons et leur proximité ne pouvaient qu'accentuer les désirs de rapprochement. Des affinités se nouaient, la difficulté consistant à passer à l'acte dans un environnement peu favorable du fait de la grande dispersion hôtelière et des horaires de travail tardifs des techniciennes. Mais le fait de voir des mâles de plus en plus affamés leur tourner autour commençait à perturber la gent féminine la plus réceptive, en particulier les trois cas cités plus haut, comme on va le voir. Ce jour là, Stéphane, un journaliste belge d'une quarantaine d'années, athlétique, barbu et rigolard, papillonnait autour de Marianne en lui racontant des salades qui la faisaient rire. Au côté de leur collègue, Juliette et Sylvie s'amusaient de la situation et dès que le Belge s'éloignait, chambraient leur voisine tout en pianotant sur leurs claviers et en accordant des communications : - Il te cherche vraiment, le mec, glissa Juliette. - Oui, je sais, mais que veux-tu que j'y fasse ? Je ne vais quand même pas le renvoyer promener, ce ne serait pas professionnel. - D'autant qu'il est bel homme, ajouta Sylvie. - C'est sûrement un bon coup, précisa Juliette. Il a l'air très viril. J'ai remarqué qu'il a une bosse sur le ...