1. Sur le Tour de France


    Datte: 01/09/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... devant de son short quand il te parle. Je parie qu'il est long. Et il n'arrête pas de mater tes gros nichons. - Qu'est-ce que tu veux dire, "il est long" ? - Qu'il a une grosse queue, remplis bien et va profond, rigola Sylvie. - Arrêtez, je vais mouiller ma chaise, gloussa Marianne. - Tu vas coucher avec lui ? demanda Sylvie en loucedé. - Je te rappelle que je suis mariée, répondit Marianne, sans se prononcer sur le fond. - Alors, si ça ne t'intéresse pas, laisse m'en un peu, ça fait un mois au moins que je n'ai pas vu une bite, chuchota la quinquagénaire divorcée à l'oreille de Marianne, qui pouffa de rire. Ainsi allaient les discussions entre les trois collègues. La plus jeune, Juliette, était toutefois moins réjouie. Son compagnon venait de lui annoncer qu'il ne pourrait lui rendre visite le week-end comme il l'avait promis. Elle s'épancha devant ses collègues : - Le salaud ! Je suis sûre qu'il est sur un coup. Puisque c'est ça, je suis désormais open. Marianne et Sylvie accueillirent la nouvelle avec le sourire. Cela faisait un bout de temps qu'un vigile noir baraqué tournait autour de la queue de cheval, lui servait à boire et lui portait son sac le soir jusqu'à sa voiture. Juliette n'en finissait plus de le remercier et de lui sourire. Ainsi, elle avait désormais le champ libre... Quant à Sylvie, la quinquagénaire bcbg, elle n'était pas en reste. Suite à un petit problème gastrique, fréquent sur le Tour, elle était allée consulter un des médecins de la course qui ...
    ... l'avait carrément draguée, étonné de voir une femme aussi "classieuse" dans une collectivité aussi masculine. Sylvie n'avait pas été insensible à son charme, mais elle était aussi l'objet d'une attention pressante d'un photographe qui la sollicitait systématiquement pour la transmission de ses photos. Le gars étant jeune et fringant, elle était particulièrement flattée de cet intérêt manifeste. Et ses collègues la plaisantaient sur le sujet : - Il va falloir choisir, lui dit Marianne - Qui vous dit que je vais choisir ? Bref, la permanence de ces mâles en rut autour de nos trois techniciennes (sans parler des autres) avait fini par porter sur leur système érotique au bout de ces deux semaines de drague. Leurs discussions intimes le soir après l'étape dans leur chambre (en général à deux lits, parfois à trois) avaient fini par leur mettre un brasier dans le bas-ventre qu'elles tentaient tant bien que mal d'éteindre dans leur lit en se masturbant. Mais il était clair dans leur esprit que seule une bite bien raide pouvait parvenir à les calmer, nonobstant leurs attaches conjugales pour deux d'entre elles. Elles évoquaient cette perspective de plus en plus souvent mais la même question revenait : où et quand ? Il apparut très vite qu'une fenêtre de tir s'ouvrait le jour de repos prévu à l'Alpe d'Huez. - On finira plus tôt, on pourra enfin accepter leurs demandes de rendez-vous, constata Marianne. - Oui mais je te signale qu'on aura une chambre pour trois. Il faudra planifier, ajouta ...
«1234...8»