1. Les fourberies de Maya 2 : L'hommage


    Datte: 01/09/2017, Catégories: fh, extracon, alliance, campagne, amour, volupté, pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, humour,

    ... plaisir. À moi Couperin, à moi Lully… Canicule ! « Ca va les amusettes, mon chou ? Ca te fait mal aux couilles ? » « Oui… » « Va donc, maraud ! Non, tu n’es qu’un menteur, servant gentilhomme ! Je ne fais rien d’autre qu’une jonglerie épicée avec les balles de tes bourses pendantes ! » « Non, non, arrête ! » « Que nenni ! Et hop ? Deux mains deux boules ! Et hop ? Triple salto carpé en dedans arrière ! » Elle me prolonge aussi la fieffée mendigote. Je palpite, j’ahane, j’extrasystole, je cherche de l’air. « Tu souffres, mon gros biquet ? Quel malheur, quel grand malheur pour toi… » Si seulement cette perfide… « Non, pas question que j’arrête la carmagnole de mes mimines au pays de tes olives ! Chantons la carmagnole de l’olivette nouvelle qui danse tantôt sur un air guilleret… oups… ou tantôt au son du canon… oups ! Il aime, il aime le chounet ! Diantre ! » « Maya… » « Mais voilà qu’il se pâme… Oh la vilaine grimace qu’il me fait là mon ménestrel ! » Maya dévoile entièrement ses positions et complote les prochaines orientations charnelles de son corps délictuel. « Oh oui, oh, moi aussi j’en veux à geindre de tout ça ! Comme la Nattie ! Viens dans mon Trianon, mon monarque absolu ! Bouge de là ! Pousse-moi ton chibre, altesse ! Dégaine et tire, encore, ya, encore, oui… Et tu vas aussi me narrer comment tu comptes avec elle ! N’est-ce pas ? » Je diffère, je la fais lanterner. Des entrées jusqu’au dessert, ma verge roide lui mitonne les mets les plus copieux et les plus ...
    ... raffinés pour l’en régaler. « Oui ! Oh ! C’est certain, elle est beaucoup plus bambou qu’à ton réveil… S’il te plaît, j’avance mon Hercule, je n’en peux plus de me languir ! Ca y est ! Enfin il me met ses douze travaux en chantier ! Cherche mon point G, mon homme, allez, cherche ! Alea jacta est ! » Pierre Perret, extraits Ah ce qu’il est beau mon chibre Quand il est à l’air libre. Son uniforme est joyeux Tête rose et veines bleues Ah ce qu’il est beau mon chibre Quand il est à l’air libre. C’est un piton rose et dur De satin veiné d’azur. Grâce à ce don céleste Il améliore les siestes. Des abbesses du couvent Qui parlent de lui souvent. Ah ce qu’il est beau mon chibre Son séduisant calibre. Fait crier les demoiselles Gémir les femmes infidèles. Libre dans son corps et dans sa tête, ma princesse Maya s’explose, elle suffoque dans ses enthousiasmes frénétiques… Elle m’agrippe les fesses à pleines mains pour rythmer mes avancées glissantes et mes patinages en recul, comme un balancier de comtoise. « Oui, il est très mignon tu sais, ton poupin petit cul ! » Tout en leurs rééditant les hiéroglyphes de Champollion, ses ongles et ses doigts en crochets écartent mes fesses au point de me révolutionner les sphincters. J’ai l’anus en folie, le trouduc en chaud-froid… par-dessous, entre nos bas-ventres désormais inséparables, sa main droite vient soudain s’enfouir pour câliner à satiété nos nobles végétations pubiennes moites et embroussaillées. « Laisse-moi passer ma main, laisse-toi… Fabian ...
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