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Les fourberies de Maya 2 : L'hommage
Datte: 01/09/2017, Catégories: fh, extracon, alliance, campagne, amour, volupté, pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, humour,
... ? J’aimerais bien savoir comment s’y prend cette énorme intruse pour faire miauler ma chatte. J’y suis, c’est dingue ! Elle me saute en longueur en ignorant totalement l’angoisse de la performance… ! Oui, les Français sont bien mieux montés ! Et Walter… Merde, ma bague ! Désolée chouchou, oui ça griffe un peu, je l’enlève tout de suite. Excuse-moi… » Sa langue humidifie tout autour son annulaire enflé avant d’ôter sa bague. « Mmmm… Je ne te dis pas nos saveurs et nos parfums ! » Puis ses doigts agiles retournent à tâtons défricher nos épineux, nos tamaris et nos cyprès avant d’atteindre délicieusement notre garrigue en feu ! Elle s’assure du mouillage de sa crique, elle consolide à effleurements meurtriers la résistance de mon nœud dégarni et elle l’extrait quelques secondes de son étui intime pour lui laisser reprendre ses esprits et affûter ses génies… « Alors, tu comptes, Fabian ? Compte comme tu fais avec ma sœur bien-aimée…s’il te plaît ? » Constatant qu’une nouvelle fois j’ignore sa supplique, Maya vengeresse repose alors le bout de mon popaul tout nu à l’air sur le petit calisson dépiauté de sa moule érectile. Full contact ! La cloche sonne ! C’est l’heure de sa récré… Alors, elle fait jouer mon popaul à chat perché, à la marelle, à saute-mouton, au ballon prisonnier, au papa et à la maman, au docteur et à colin-maillard… En prenant la queue comme tout le monde, elle retrouve mes agates, elle me brise les calots et me pique mes billes… Tous les jeux y passent avant ...
... qu’elle ne se remette mon mât de cocagne au plus profond de sa grotte d’amour en me braillant dessus afin que je ne joue qu’avec elle. Jalouse. « Oh ? Bitte schön, Fab ! Ja, Bitte schön… » Elle stimule son ardente ferveur pour me garder égoïstement au plus profond d’elle-même, sans partage, dans l’intérieur luxuriant où elle m’a conduit. Fi de nos souvenirs. Dans une étreinte suprême, prolongée, passionnée, nous cheminons ensemble pour la première fois dans des calanques blanches et ensoleillées, en empruntant les mêmes sentiers rocambolesques de la félicité et les mêmes recoins magiques de l’adultère. « Fabian ? » « Oulà ! Oui, pas si vite Maya… » « C’est stop ou encore ? » « Encore ! » « Alors tu comptes, Fab ? » « Oui, je compte. » « Bien, j’attends. » « Mais Maya, et Nattie ? » « Justement elle connaît et pas moi ! » « Jusqu’à dix alors ? » « Tu te moques, Fabian ? » « Non, je révise… » « Révise avec moi, d’ac ?… » « Ô toi ! » « Je t’aime Fab… » « Non Maya, non ! » « Si ! » « Bon, oui… » Aussi lâche qu’un homme épris, je préfère compter. « Je compte un j’aime tes seins. Je compte deux si moelleux… Jusqu’à trois mes doigts sur toi et pour quatre je lève une patte. Jusqu’à six j’survole tes cuisses. Je compte sept t’es super chouette. J’fais un huit pour me tourner et à neuf j’recule sur ma meuf ! » « Ouais ! Je vois tout ! Et après ? » « J’ai frais au cul ! » « C’est moi ! Y’a pas de rime alors je souffle… » « Et après ? Au cul j’ai frais ! » « Merci… » « Je compte treize ...