1. Ma prof de philo (fiction écrite en 01.2011).


    Datte: 06/08/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... ensembles tailleur pantalon lui faisaient une tenue élégante et discrète. Il lui fallait faire attention car nous avions dans le bahut quelques mecs chauds qui n’auraient pas hésité à la chahuter si elle avait porté des tenues quelque peu provocantes. Mais ce soir, au moment où vers 22 heures, je quitte la salle de sports, je reçois un SMS : • Tu peux venir ? C’est Anita ! Aussitôt, je préviens ma mère que je ne rentrerai pas de bonne heure et qu’elle ne s’inquiète pas. Une dizaine de minutes plus tard, j’arrive devant l’immeuble bourgeois d’Anita qui m’ouvre aussi la porte d’entrée. Les deux étages sont franchis en vitesse. Je suis très impatient de la revoir et mon cœur bat à cent l’heure. Je sais ce qui m’attend et à la fois le suspens attise ma curiosité, une curiosité teintée de perversité. Anita m’attends dans l’entrebâillement de la porte palière. J’entre aussitôt et elle m’entraîne dans son salon où nous nous enlaçons : • Enfin seuls ! Tu m’as manqué… Pourquoi n’est tu pas venu ? Immédiatement sa bouche cherche la mienne et nous échangeons des baisers brûlants où nos langues se mêlent, envahissant tantôt la bouche de l’un, tantôt la bouche de l’autre. Nos corps sont pressés l’un contre l’autre. Sous le déshabillé d’enfer qu’elle a mis, je sens ses seins durs et pointus frotter mon torse alors que son bassin ondule contre le mien… c’est une sensation indescriptible mais très excitante. Je bande au point que ça me fait vraiment mal au sexe. En faisant glisser son ...
    ... déshabillé et sa nuisette dans un seul mouvement, ma maîtresse s’offre bientôt nue à ma vue, ne conservant qu’un string minuscule. Elle commence à me déshabiller à mon tour en faisant passer mon sweet-shirt par-dessus ma tête et en baissant le pantalon de mon jogging. Je ne porte plus que mon boxer et ma bite est bandée au point que le gland sort au dessus de la ceinture élastiquée. Nous continuons de nous étreindre, caressant mutuellement nos corps collés l’un à l’autre. De ses mains elle suit le dessin de mes muscles de bras et mes pectoraux alors que les miennes courent dans son dos des épaules à la raie de ses fesses ou dans ses longs cheveux libres. Nous n’en pouvons bientôt plus. Anita m’entraine sur elle en basculant sur le divan où nous continuons de nous étreindre dans des caresses de plus en plus chaudes. Nos pubis frottent l’un contre l’autre et je vais embrasser ses seins aux tétons proéminents et sensibles. Puis je descends vers la fourche de ses jambes en une multitude de petits baisers humides, baveux, passionnés. Au passage, je mets ma langue dans son nombril et je la sens frissonner. Je découvre les gestes instinctivement, sans vraiment savoir ce que je fais, à tâtons. Au travers du triangle de dentelle blanche du string, je dépose des baisers chauds sur sa chatte, toute rose et inondée de mouille. Ma prof presse ma bouche contre elle dans la fourche de ses cuisses qu’elle maintient encore fermée. Je sens son parfum musqué. Je fais glisser son string et je l’ôte. ...
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