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Ma prof de philo (fiction écrite en 01.2011).
Datte: 06/08/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... Je découvre sa toison au poil dru taillé en une fine bande qui part quelques centimètres en dessous du nombril pour aller jusqu’au capuchon du clitoris. Quel spectacle. Je n’avais jamais vu de corps féminin nu autrement qu’en photo… Je ne sais pas comment faire alors Anita me guide, me priant de glisser ma langue entre ses lèvres intimes, puis de titiller son clito et le sucer. Elle me prie finalement de descendre vers l’entrée pour darder ma langue et pénétrer son minou avec elle… Je sens la chaleur humide de son sexe se répandre sous ma langue. C’était bon et malgré mon inexpérience Anita semble apprécier. Sa respiration s’accélère, elle prononce des mots sans suite – Humm ! C’est bon… continue… Encore… Je ne sens vraiment à l’étroit dans mon boxer et ma bite est douloureuse tellement je bande. Au bout de quelques minutes, le plaisir emporte Anita qui se cambre et se tord sous ma caresse. Quand je me relève, je vois que ses lèvres sexuelles sont rouges, gorgées de sang et gonflées. Du liquide s’échappe de sa fente… C’est chaud ! Les bourgeons de ses seins sont sortis et quand je les touche, ils sont tout durs. Anita fait glisser mon boxer, couvre ma bite d’un préservatif et m’attire à nouveau entre ses cuisses. Elle n’a pas besoin ...
... de me guider : mon sexe pénètre le sien dès que mon gland trouve l’entrée. Que c’est bon de se sentir ainsi emprisonné dans une gaine chaude et humide où je commence le va-et-vient. Anita me guide une fois encore en prenant mes hanches entre ses mains, tantôt elle freine mes mouvements, tantôt elle les accélère. Je suis comme un jouet entre ses bras mais elle sait y faire pour retarder notre jouissance, la laissant refluer pour mieux la faire remonter ensuite. Bientôt, l’un comme l’autre nous n’en pouvons plus d’attendre. Anita se déchaîne sous moi, laissant éclater son plaisir au moment où je me vide au fond de la capote. Je lui avoue timidement : • C’était très bon Anita. Il faut que tu saches que… t’es ma… ma première femme… • Je m’en doutais ! Ma bite, bien qu’elle ait craché abondamment, est toujours bandée, fichée comme un pieu de chair au fond de son sexe. Nous restons ainsi de longues minutes à savourer nos sensations jusqu’à ce que mon amante recommence à onduler sous moi. Cette nuit là, je la passe entre les bras d’Anita. Je lui ai fait l’amour deux fois et chaque samedi soir, je passe chez elle où elle m’apprend tout sur le sexe en disant que si je sais rendre ma femme heureuse, elle ne sera pas tentée d’aller voir ailleurs…