1. Ecole du sexe (15)


    Datte: 07/08/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... immobile, les yeux fermés. Je commençais à m’inquiéter de la voir dans cet état. Pris de panique, j’appelais monsieur Wipe afin qu’il me donnât son avis. – Que se passe-t-il, Bastien ? – C’est Alice, monsieur, elle ne bouge plus. C’est comme si elle ne m’entendait pas. – Elle est en train de vous faire une farce, je suppose. Notre professeur s’approcha d’Alice et approcha sa figure de celui de ma dulcinée. – Alice, réveille-vous ! On n’est pas là pour dormir, on est là pour travailler ! Alice, vous m’écoutez ?! Aucune réponse de sa part. Elle avait beau aimer plaisanter, elle ne ferait jamais quelque chose comme cela, encore moins si le prof vient pour la gronder. – Alice ! Écoutez-moi, bordel de merde ! J’allais faire remarquer au professeur que crier n’arrangerait en rien la situation, jusqu’à ce que les yeux de ma petite-amie s’ouvrissent. D’abord rassuré, mon cœur manqua de s’arrêter lorsqu’Alice se mit à hurler le nom de Fabian avant de se mettre à trembler violemment. — - - - - - - - - - - - - - - - - – Lâche-moi, hurlai-je à l’attention de Fabien. – Pourquoi devrais-je te lâcher ? Après tout, tu es à moi ce soir. À nous, devrais-je dire, ajouta-t-il en montrant du doigt chacun de ses cinq gardes du corps. Tandis qu’il s’approchait de moi, je voyais son membre se rapprocher petit à petit de mon visage. Refusant de faire quoi que ce soit avec lui, je montrai les crocs, et aussitôt il se ravisa. – Ce n’est pas vraiment ce à quoi les hommes s’attendent, quand on vous ...
    ... demande si vous avez faim, dit-il d’un air mauvais. Si tu ne fais pas d’effort, je n’en ferais pas non plus. – Parce que tu as l’intention d’être généreux avec moi ?! Lâchai-je hors de moi. Il balaya ma question d’un revers de main. – Comme tu voudras. Je n’avais pas l’intention d’en arriver là aussi tôt, mais tu ne me laisses pas vraiment le choix. Je vis alors deux des cinq gorilles de cette ordure arriver dans mon dos. Le premier m’attrapa au niveau de la tête et me maintint collée à la chaise. Le second fit de même avec mon torse, ses mains agrippant ma poitrine. Je les insultai de tous les noms jusqu’à ce que je visse le membre de Fabian s’approcher dangereusement de mon vagin. Non, pensais-je, je vais revivre ça. Je voulus fermer les yeux, mais je savais que cela ne le ferait pas disparaître. Incapable de faire autre chose, je me mis à pleurer. — - - - - - - - - - - - - - - - - - Tout le monde dans la classe regardait Alice avec terreur. Elle s’agitait maintenant dans tous les sens sur sa chaise, jusqu’à ce que cette dernière basculât sur le côté et tombât, manquant au passage de casser le bras de ma dulcinée. Heureusement que ce bras se trouvait bien sur l’accoudoir, et non à côté. Ses spasmes cessèrent, des hurlements prirent leurs places. Elles criaient des mots tels que « non », « pas encore » et « Fabian ». Elle en avait hurlé d’autres, mais ces derniers m’avaient frappé. Je compris alors ce qui se passait. Alice était en train de revivre son viol. Je semblais être le ...
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