Ecole du sexe (15)
Datte: 07/08/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... seul à l’avoir remarqué, mon professeur semblait incapable de savoir quoi faire. L’une des élèves avait été chercher monsieur Auburn, ce dernier arriva dans la salle environ cinq secondes après que j’eusse découvert le pot aux roses. Sans perdre plus de temps, je me jetai aux côtés d’Alice et lui caressai les cheveux. De mon autre main, j’attrapai la sienne et la serrai. J’approchai alors ma bouche de son oreille et lui susurrai ces mots : – Tout ce que tu vis n’est pas réel, Alice. Quitte cet endroit et rejoins-moi, je t’en supplie. Je ne veux pas que tu vives ça à nouveau. — - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Je hurlais toutes les insultes qui me venaient à l’esprit. Même le capitaine Haddock risquait de me jalouser. Tandis que son membre avait presque atteint mon sexe, une voix résonna dans ma tête. – Tout ce que tu vies n’est pas réel, Alice. Quitte cet endroit et rejoins-moi, je t’en supplie. Je ne veux pas que tu vives ça à nouveau. C’était la voix de Bastien, je pourrais la reconnaître entre mille. – Mon amour, donne moi la force de me battre. Fabian me jeta un regard amusé, sans doute avait-il cru que je m’adressait à lui. Je fis une moue dégoûtée lorsque je regardai son pénis approcher jusqu’à ce que je sentisse une chaleur naître dans le creux de ma main et se propager dans l’intégralité de mon corps. Cette chaleur, c’était celle de Bastien, j’en étais certaine. Cette présence me redonna le courage qui me manquait. – Tout ça, c’est dans ma tête, murmurai-je. ...
... Rien de cela n’est vrai. Tout est dans ma tête, alors je peux faire ce que je veux ! Ce sont mes souvenirs, alors je te l’interdis, Fabian ! Je fermai les yeux et priai pour que mes chaînes disparussent. Lorsque je rouvris les yeux, mes mains et mes pieds étaient libres. J’en profitai alors pour attraper les testicules de l’ordure qui me faisait face et serrai aussi fort que je le pus. – Pétasse ! hurla-t-il de douleur. Ses cinq gorilles se jetèrent sur moi, mais il me suffit de penser à leurs disparitions pour que nous ne fussions plus que tous les deux, Fabian et moi. – Qu’est-ce qui se passe maintenant ? dit-il terrifié. C’est toi qui fais ça, salope ?! – Règle numéro un : quand une fille a tes couilles dans ses mains, ne jamais l’insulter. Je voulus serrer encore plus fort, mais une soudaine envie d’humilier cet homme naquis en moi. Je fermai les yeux et imaginai Fabian en esclave sexuel. Lorsque j’ouvris les yeux, son visage avait perdu toute haine. – Oh, maîtresse, oui, punissez-moi ! dit-il le visage cramoisi. L’entendre dire une telle chose me fit pousser un rire bruyant. Je le dévisageai jusqu’à le forcer à s’agenouiller. Je plaçai ma main droite à l’arrière de son crâne et, me levant, je collais sa bouche à mes lèvres intimes. – Lèche ta maîtresse, Fabian. Sans prononcer le moindre mot, il s’exécuta et promena sa langue le long de mon vagin. Je ne ressentais aucun plaisir sexuel, seulement le plaisir de voir mon violeur dans cette position. Puis j’eus envie de décupler ...