1. Ecole du sexe (15)


    Datte: 07/08/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... ma vengeance. Sans le prévenir, je décidais d’uriner dans sa bouche. Esquissant un visage surpris, je vis du plaisir dans ses yeux tandis qu’il buvait au goulot de sa maîtresse. Bon sang, j’avais été loin dans sa reconversion. – Oh, maîtresse, merci pour ce cadeau, dit-il avec les yeux brillants tandis qu’il nettoyait un écoulement d’urine sur son menton. Le voir ainsi me rendait folle de joie. Toutefois, je n’en avais pas terminé avec lui. Je lui ordonnais de s’allonger sur le dos sur la table que j’avais fait apparaître à la place de la chaise. Il s’exécuta avant que je priasse pour qu’un gode-ceinture apparût autour de ma taille, recouvrant mon sexe. – Oh, maîtresse, me ferez-vous l’honneur de me donner tant de plaisir ? Je le regardais, les yeux brillant d’une flamme que je ne me connaissais pas. Le gode-ceinture bien serré, je m’approchai de son postérieur qu’il écarta à l’aide de ses mains. J’hésitais un instant, je n’avais jamais vu un anus sous cet angle. J’approchai un peu plus mon bassin, et bientôt le plastique de ce petit joujou pénétra la personne que je haïssais le plus au monde. D’un coup de rein, violent cette fois, j’enfonçais le sex-toy dans le fondement de cet homme. J’entamai alors un mouvement de va-et-vient, chose que je n’avais faite, du moins dans cette position. Fabian gémissait chaque fois que je bougeais le bassin. J’en profitai alors pour me faire plaisir et le pilonnai. J’avais l’impression d’être un homme, cela se révélait être une expérience ...
    ... spéciale mais très jouissive. Au bout de plusieurs secondes, Fabian m’indiqua qu’il allait jouir. Je décidai de le faire attendre et, par la force de ma volonté, sa semence ne quitta pas son sexe. J’attrapai alors son manche et, tout en le pénétrant, je commençais à le masturber. – Maîtresse, je vous en supplie, laissez-moi jouir ! J’accomplirai tous vos désirs, mais par pitié, laissez-moi jouir. jvnndo J’appréciais tellement ce que je faisais que je ne relevais même pas que je branlais l’homme que je détestais. Bon sang, quel pied ! Puis j’eus une une nouvelle idée. – Tu veux jouir ? Très bien, tu vas jouir. Je sortis mon faux pénis de son anus et décidai, pour le grand final, de lever ses jambes en l’air et de basculer son bassin en arrière jusqu’à ce que son sexe fût en face de sa bouche. – Ouvre et avale, c’est ta maîtresse qui te l’ordonne. Fabian s’exécuta tandis que son liquide séminal arrosa son visage et emplit sa bouche. La dernière vision que j’eus de lui fut celle d’un homme avalant son propre sperme, son visage souillé par lui-même. Ce plaisir me combla tandis que je décidai de quitter cet endroit le sourire sur les lèvres. — - - - - - - - - - - - - - - - Je tenais fermement la main d’Alice. Monsieur Auburn nous regardait, impressionné par la scène à laquelle il venait d’assister. Tandis qu’il proposa d’emmener Alice jusqu’à l’infirmerie, Cette dernière arrêta de hurler et, à la surprise générale, prononça mon nom. Elle me regarda tendrement en prononçant ses ...
«12...4567»