1. Expédition à la montagne


    Datte: 08/08/2019, Catégories: f, fh, hplusag, jeunes, copains, sport, volupté, odeurs, Masturbation Oral

    ... À la cuisine, il y a une porte, qui ferme. Sans un mot, elle sort de son sarcophage, et se dirige vers la cuisine. Sans bien réfléchir, un peu comme un zombie, j’emporte mon sac de couchage afin de servir de litière de fortune et je la suis. Ce qu’on appelle la cuisine est en fait la salle commune de la cabane. Deux tablées, un coin cuisine avec un fourneau au gaz et deux petites armoires en constituent l’ameublement sommaire. Comme nous n’avons pas fermé les volets, une pâle lueur lunaire entre par la petite fenêtre, suffisante pour nos yeux habitués à l’obscurité. Il fait froid, les murs ont beau être épais, nous sommes en altitude. Mais, pour l’instant, l’excitation relègue ce problème loin derrière. Irène se retourne, elle est toujours vêtue de son tee-shirt et d’une culotte, elle est ébouriffée par son morceau de nuit passé dans son sac. Un instant de gêne passe, on ne sait pas par où commencer. À par les bises d’usage, et les quelques fois où je lui ai donné la main pour un passage difficile, on ne s’est jamais touché, et maintenant… On va baiser ! Ce moment est magique, mais il peut vite basculer dans la gêne. Il me faut prendre l’initiative, surtout que je ne suis pas sûr d’être très sexy, avec mon caleçon duquel mon sexe tendu sort à moitié, mon vieux tee-shirt pourri et les bras encombrés par mon sac de couchage. Arbitrairement, je décide que l’on peut se passer de préliminaires, Irène s’en étant chargé seule. Je pose mon sac à l’extrémité d’une des tables, soulève ...
    ... Irène, la couche dessus. Elle ne réagit pas, attend la suite de mes initiatives. Je pose une main légère sur son sein menu, la promène, effleurant cette bosse tellement émouvante. Je sens sa peau frémir au travers de la légère étoffe de son tee-shirt. Je me penche, embrasse le grain parfait de son cou, pose mon autre main sur son autre sein, sa poitrine est menue mais tellement ferme, elle paraît taillée dans le marbre. Elle frémit lorsque j’effleure de mes lèvres son oreille, ma main gauche continue de frôler son sein, alors que ma droite empoigne l’autre un peu plus franchement. Passive jusque là, elle bouge, presque brutalement, son tee-shirt disparaît, m’offrant ainsi le loisir d’admirer son torse fin, donc l’aspect laiteux est encore accentué par la lumière de la lune, son ventre parfait sur lequel apparaît les bosses de ses abdominaux, et ses magnifiques seins. Cette offrande de son corps m’émeut, m’oblige à lui rendre l’hommage qu’il mérite. Je m’empare à nouveau de ses seins, effleurant la peau de l’un du bout de mes doigts, alors que la paume de mon autre main agace le téton de l’autre. Elle frémit, son corps se tend, la lumière de la lune accentue le jeu de ses muscles qui courent sous sa peau et donne un aspect irréel à toute cette scène. Ma main droite quitte son sein, descend doucement en effleurant la peau de son ventre qui me fait tant envie, que je voudrais goûter, manger. Un désir brutal me prend, un désir douloureux de ce ventre si parfait, tellement lisse, ...
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