1. Expédition à la montagne


    Datte: 08/08/2019, Catégories: f, fh, hplusag, jeunes, copains, sport, volupté, odeurs, Masturbation Oral

    Il était environ 15 heure lorsque nous sommes arrivés à la cabane, la «hütte« comme ils disent par ici. Malgré l’altitude et la raréfaction de l’air qui en découle, les filles avaient bien marché. Irène, la plus petite, la plus fine aussi, avait bien eu un peu de peine à nous suivre vers la fin, heureusement, sa fierté est telle qu’elle aurait difficilement admis arriver après nous, Christelle avait quant à elle parfaitement tenu le rythme. Ma première «grande« expédition en compagnie de ces deux filles s’annonçaient sous les meilleurs hospices. La cabane, équivalent suisse du refuge français, était vide, à l’exception du gardien qui, bien que nous ayant chaleureusement accueilli, semblait nous éviter un peu. Il faut dire que les filles babillaient pas mal malgré l’altitude, et qu’il me semble qu’il faut être plutôt solitaire et taciturne pour rester cloîtré trois ou quatre mois à près de 3000 mètres d’altitude, par tout les temps, comme un moderne gardien de phare. Afin de fêter dignement notre arrivée à la cabane, j’avais emporté avec moi une petite bouteille d’absinthe, de distillation autant locale qu’illégale, mais tellement délicieuse bien fraîche. Nous prîmes donc l’apéritif sur la petite terrasse aménagée devant la cabane, goûtant à la magnifique vue et appréciant la température clémente dispensée par un généreux soleil. Le gardien apparût et tenta de me parler. Le niveau catastrophique de mon allemand obligea cependant le gardien à s’adresser finalement à ...
    ... Christelle, ce qu’il fît avec une certaine réticence. Les deux interlocuteurs parlèrent deux minutes et le gardien disparût à nouveau. — Le gardien m’a demandé si nous arriverions à nous débrouiller tout seul, il veut profiter de la faible occupation de la cabane pour descendre dans la vallée, ça fait plus de deux mois qu’il n’est plus descendu. Je lui ai dit qu’on se débrouillerait très bien tout seul.— Et si quelqu’un vient ? demanda Irène— Aucun risque paraît-il, depuis le temps qu’il garde cette cabane il sait repérer les randonneurs plusieurs heures à l’avance, et vu l’heure tardive… Le gardien réapparût, équipé d’un sac à dos vide, probablement destiné à ramener des provisions. Je lui offris le fond d’absinthe qu’il me restait «pour la route« qu’il accepta volontiers, la bût sec, sans eau et partît, nous laissant seuls dans la cabane. J’avais rencontré ces deux filles environ deux mois auparavant. J’avais pris congé en semaine, comme je le fais souvent, pour aller en montagne. Ce jour là j’avais exceptionnellement pris le funiculaire afin de gagner une heure et demie sur mon programme, étant arrivé un peu tard à cause d’un malheureux contretemps. L’utilisation du funiculaire était la seule chance qu’il me restait d’arriver au sommet prévu ce jour là. C’est dans ce moyen de transport rudimentaire que je les ai rencontrées. Christelle, étudiante en géologie, racontait les paysages à Irène, étudiante en psychologie. Passionné, en amateur, de géologie, je m’étais approché pour ...
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