1. Expédition à la montagne


    Datte: 08/08/2019, Catégories: f, fh, hplusag, jeunes, copains, sport, volupté, odeurs, Masturbation Oral

    ... une vue dégagée sur nos sexes, le mien, avalé par la toison foncée d’Irène, alors que le sien s’écarte, se dilate pour me recevoir. Puis la main fine d’Irène qui vient, passe si près de nos sexes, puis s’attarde sur le clitoris, agitée d’imperceptibles mouvements. Je quitte des yeux cette vision afin de prolonger mon plaisir de quelques minutes. Mais le plaisir monte, inexorablement. Je crochète mes doigts dans les hanches d’Irène, et accélère encore le rythme. Au moment où je perds contrôle, un éclair de lucidité me traverse, et je sors mon sexe. J’en caresse quelques secondes la peau si douce des cuisses d’Irène. Un éblouissement me traverse, suivi d’un long frisson qui parcourt tout mon corps, se terminant dans mon sexe duquel ma jouissance sort enfin avant de s’étaler à longs traits sur le ventre d’Irène. L’orgasme me foudroie littéralement. Je m’accroche à nouveau au bassin d’Irène, mais cette fois uniquement parce que mes jambes ne me portent plus très bien, je vais tomber. Quand je reprends un peu mes esprits, je remarque une vibration, une houle qui parcourt Irène, se transmet jusque dans mes mains, elle jouit à nouveau, silencieusement, intimement. Si je n’avais pas tenu ses hanches, je n’aurais peut-être rien remarqué. Je profite des ...
    ... quelques bribes de spectacle qu’il me reste, en savoure la discrétion. Que c’est beau une fille qui jouit. Enfin, sa main quitte son mont de Vénus, mes mains lâchent son bassin. Irène a alors une parole qui me sidère : — Excuse-moi, je suis désolée, mais je sentais que ça pouvait marcher encore une fois.— Mais de quoi parles-tu ?— Ben, excuse-moi de m’être caressée.— J’avais peur d’avoir compris. Ne t’excuses surtout pas, c’est moi qui doit te remercier du magnifique spectacle que tu m’as offert. Tu sais, je n’appartiens pas à cette caste de mecs qui ont la susceptibilité vissée au bout de leurs engins. On a pris du plaisir ensemble, ça c’est important, peu importe le moyen. Doucement, ma main s’est remise à caresser le ventre d’Irène, toujours couchée sur la table, les jambes pendantes, écartées, impudiques. J’ôte le vieux tee-shirt que je porte encore et l’utilise pour nettoyer les traces de ma semence qui maculent ce fabuleux ventre. Puis, presque simultanément, nous allons nous coucher. Lorsque nous entrons dans le dortoir, le bruit de la respiration régulière de Christelle nous rassure, elle semble ne s’être rendu compte de rien. C’est seulement devant nos lits, avant de nous enfiler dans nos sacs que nous nous embrassons, pour la première fois. A suivre 
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