1. Expédition à la montagne


    Datte: 08/08/2019, Catégories: f, fh, hplusag, jeunes, copains, sport, volupté, odeurs, Masturbation Oral

    ... écouter, d’abord discrètement puis ouvertement, les deux filles étant d’un abord plutôt sympathique. La conversation s’engagea et le petit sommet du jour fût vaincu par trois nouveaux amis. Depuis ce jour, les vacances universitaires pour les filles, et le ralentissement estival des commandes pour moi nous permirent deux ou trois autres journées de randonnées. Bien qu’étant plus âgé d’une bonne douzaine d’années qu’elles, notre amour de la montagne et de la nature en général nous autorisa quelques belles émotions, dénuées d’ambiguïté, du moins me semblait-il. Une envie commune de vaincre deux sommets un peu plus difficiles nous amena à nous retrouver dans cette cabane où nous devions passer deux ou trois nuits. Une vingtaine de minutes après le départ du gardien, il fallut se mettre à l’ouvrage. La fatigue de la montée, l’apéro et peut-être l’altitude nous avaient plus fatigué que nous voulions bien l’admettre et nous étions en train de nous endormir. Il fallait encore faire à manger, préparer nos sacs pour le lendemain et nous coucher. En effet, le sommet prévu pour le lendemain nous imposait de nous lever vers trois heures du matin. Vu la nécessité d’emmagasiner de l’énergie, le menu n’était pas trop compliqué à composer : spaghettis, et en nombre. Pendant que l’eau cuisait, nous organisâmes nos sacs, afin de les alléger au maximum. Habits chauds, couvertures de survie, provisions et beaucoup de boissons. Une gigantesque platée de pâtes, accompagnées de deux bouteilles ...
    ... de vin rouges, dont nous escomptions un effet somnifère, nous amenèrent passablement souls et hilares aux alentours de 21 heures. Laver la vaisselle, une toilette sommaire due à l’eau glaciale, et nous nous couchâmes dans le dortoir vide. La fatigue accumulée, l’ivresse capiteuse du vin rouge ne m’empêchèrent pas de jeter un coup d’œil appréciateurs sur les jambes des deux filles en culotte et tee-shirt en train de «s’ensarcophager« dans leur sacs de couchage. Christelle, la brune, fille saine, rigolarde, presque carrée d’épaule, a des jambes magnifiques, solides, musclées, bronzées. Ce n’était pas la première fois que je les admirais, en effet autant Christelle qu’Irène adoptaient le bermuda des randonneurs pour aller en montagne. Mais une culotte est quand même beaucoup plus courte qu’un bermuda, me laissant libre d’admirer les magnifiques cuisses de Christelle. C’est pourtant tout à fait involontairement que j’avais pausé une torche électrique sur un lit, la cabane étant dépourvue d’électricité, pour faire un peu de lumière. Probablement totalement inconsciente de l’effet produit, Christelle s’installa devant quelques secondes, tout en enlevant son soutien-gorge sous son tee-shirt. J’ai toujours trouvé ce geste particulièrement émouvant. Les contorsions auxquelles se livrent les filles qui ôtent leur soutien-gorge tout en voulant nous priver de la vision de leurs seins ont sur moi un léger effet aphrodisiaque. Mais doublé de la vision de la culotte blanche et sage de ...
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