1. Une idée fixe redoutable


    Datte: 10/08/2019, Catégories: fh, hagé, fagée, couple, extracon, Collègues / Travail laid(e)s, bain, hotel, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral amourdura,

    ... certainement bien plus d’expérience. Ses baisers étaient sensuels et doux, ses mains caressaient mon corps délicieusement, se montrant parfois intrépides, appuyant sur les zones sensibles, frottant comme il fallait et là où il fallait. Mes seins devenaient durs par le seul passage de sa main sur mes vêtements et je me surpris à avoir le slip tout humide. J’ai accepté que sa main s’insinue sous mon chandail, qu’elle caresse mon ventre, qu’elle vienne jusqu’à la naissance de mes seins, qu’elle les prenne en main alors qu’ils étaient enfermés dans les coques d’un soutien-gorge. J’en étais à espérer qu’il dégrafe l’attache de mon sous-vêtement, mais il ne tenta rien. De même, alors que nous étions dans un endroit discret et qu’il fit courir sa main le long de ma cuisse sous ma robe, je le laissai faire. Arrivé à ma petite culotte, il vint me masser le mont de Vénus par-dessus le tissu. Il n’essaya pas, cette fois encore, d’insinuer ses doigts sous l’élastique de mon slip. Alors j’ai pris mon courage à deux mains ; j’ai ravalé ma pudeur, et un jour où je devais retrouver mon chéri, je suis venue sans soutien-gorge. Mes seins qui étaient peu volumineux et très fermes n’avaient pas tendance à ballotter, bien que libres de tout maintien. De plus, on ne pouvait pas se douter que je ne portais pas de haut, mon chandail par sa coupe et sa texture empêchant quiconque d’avoir un doute. Lorsque Fabrice vint me caresser le ventre puis s’élança vers ma poitrine, il n’en crut pas ses mains ...
    ... (puisque ses yeux ne pouvaient rien voir à cause du vêtement). — Tu n’as pas de soutif ?— Non.— Mais pourquoi ?— Pour que tu puisses me caresser les seins sans être gêné par le tissu d’un sous-vêtement.— C’est pour moi ?— Oui. Pour qui veux-tu que ce soit ?— …— Cela ne te plaît pas ?— Si, si, c’est magnifique.— Alors caresse-moi les seins, je t’en prie. Pour la première fois, je ressentis la même jouissance que je pouvais éprouver lorsque je me pelotais les seins. Non, à dire la vérité, que ce soit un garçon, que ce soit ce garçon qui le fasse, ne faisait que décupler le bonheur. C’était absolument délicieux. Fabrice me faisait un bien fou en malaxant mes globes. Il voulut les voir. Nous sommes allés dans un coin tranquille et j’ai remonté jusqu’au cou le tissu épais, dévoilant ainsi ma jeune poitrine. — Ils sont magnifiques.— Tu les trouves beaux ?— Une telle rondeur, je n’en crois pas mes yeux. Oh, mon Dieu !— Laisse donc Dieu où il est, et donne-moi du plaisir. Cajole encore mes seins.— Tu es sensible ?— Je ne sais pas. Je pense, oui.— Ils deviennent tout durs. Il continua ses caresses ; il soupesait mes petits nichons, agaçait les pointes érigées. J’étais tout excitée et n’ai pu réprimer un soupir de contentement lorsqu’il est venu poser ses lèvres sur mes mamelons. Ce fut comme une décharge électrique, une onde de jouissance bien supérieure à celles que mes masturbations avaient pu me procurer. Fabrice raconte Julie m’a tout de suite plu. Son visage mutin, le sourire sur ...
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