1. Promenons-nous dans les bois...


    Datte: 12/08/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... hésiter, me chercher. De la main, je t’indique une place. Tu souris, rassurée. Je m’approche de ta portière. La robe est courte, la tenue légère comme je l’aime. Nous nous embrassons platoniquement, puis je t’accompagne jusqu’au coffre. Comme convenu, tu nous as apporté quelques mets pour accompagner notre escapade champêtre. Nous ne tardons pas à partir. Là, dans la pseudo intimité de la voiture, je m’autorise à poser la main sur ta cuisse. Ce geste a pour habitude de déclencher chez toi ce petit sourire qui me plait. Sur la route, je te confie mes déboires pour trouver notre petit coin. Pourtant, vu sur une carte, je pensais n’avoir que l’embarras du choix. Et de conclure que cet endroit, trouvé par le plus grand des hasards, semblait réunir toutes les conditions idéales. Je ne te sens pas convaincu, toujours sceptique comme à ton accoutumé. Au détour d’un virage, je reconnais le lieu et je m’engage dans le chemin. Même si nous sommes abrités des regards indiscrets, je gare la voiture en retrait. L’inquiétude doit être contagieuse. Même si j’ai vérifié tout à l’heure la nature du terrain, je préfère m’assurer en descendant que nous pourrons bien repartir. Enfin, nous pouvons nous poser. A ton tour, tu explores le lieu tandis que je sors une bâche et deux couvertures. Minutieusement, je les étale sur le sol pour nous en protéger. En cette fin de mois d’Aout, l’atmosphère beigne dans une atmosphère légèrement moite. La scène est installée. Tu n’es cependant pas tranquille ...
    ... : les moteurs qui passent à proximité éveillent tes sens lorsqu’ils ralentissent pour prendre le virage. Je tente de te rassurer. Quelle meilleure diversion que celle de découvrir ce que tu nous as apporté pour manger. Quelques verrines sucrées, à boire… Ce sera suffisant comme collation. Qui pourrait soupçonner en nous voyant les projets qui nous animent. Ton inspection a révélé à ton nez délicat une odeur désagréable. Je ne la perçois pas de ma place et penche pour l’humus humide qui jonche le sol. Face à ton insistance, je m’approche de toi. Prétextant faire barrage de mon corps au léger vent porteur, je peux t’entourer de mes bras. Lové, mais toujours un peu tendue, j’appose un baiser à la base de ton cou. Tu inclines légèrement la tête en guise d’acquiescement. Mes mains parcourent doucement ton corps, mais la position n’est pas forcément confortable. J’en profite pour t’inviter à t’asseoir sur la banquette arrière. La portière entrouverte sera un très bon pare vue aux yeux indiscrets, si tenté qu’il y en ait. J’accompagne ton mouvement de la main pour t’aider à t’allonger. La longueur de ta jupe n’est pas propice à occulter tes dessous. La petite culotte de dentelle noire m’apparait presque naturellement. A genoux dehors, je commence ma lente ascension. Tes jambes s’écartent légèrement pour me laisser s’approcher. Leur douceur est pour moi une tentation de chaque instant. Mes lèvres s’attardent sur l’intérieur de tes cuisses. Je perçois tes soupirs naissant lorsque je ...