1. Val - La maison de pain d'épice


    Datte: 13/08/2019, Catégories: fh, extracon, inconnu, amour, volupté, 69, init,

    ... terre ? Peu importe, elle le veut et elle l’aura, elle lui prendra tout, l’épuisera, le videra, elle jouira, elle le sait, elle jouira encore et encore, elle le pressent. Elle, lui, ensemble, sans retenue, comme si demain n’existait plus. Elle a déjà déboutonné la chemise blanche de son amant, elle couvre son torse de baisers tandis qu’elle sent des mains avides glisser sous son haut. Il se cabre : la bouche qui le dévore est brûlante, elle laisse des sillons sur sa peau frémissante, c’est totalement dément. Il s’active à capturer ses petits seins, cherche leurs formes mignonnes. Peu après, ils sont, tous les deux, torse nu, se cherchent, se découvrent, se trouvent. Avide, il caresse les petites formes au téton pointu, du bout de la langue, de la bouche, de ses mains. Les seins qu’elle lui présente impudiquement sont si… mignons, adorables. Affamé, il presse sa bouche sur l’un d’eux, aspirant une petite tour sucrée, la flattant de sa langue en une vaste spirale. Elle en frémit, un petit cri lui échappe. Son amant engloutit littéralement son sein, il le déguste voracement. Elle sursaute, se cabre. Elle n’aurait jamais cru que ça lui fasse un tel effet ! Jamais un homme ne s’était autorisé à lui faire ça. Elle s’en oublierait d’excitation dans sa petite culotte ! Oh, sa petite culotte, quelque chose lui dit qu’elle ne va pas la garder très longtemps ! Il la couche délicatement sur le lit, tout en gardant captif son sein dans sa bouche. Elle sent à présent des mains puissantes ...
    ... la caresser, la choyer, lui donner cette merveilleuse impression qu’elle est tout, l’Ultime. Conquise, elle se laisse faire, c’est si bon de se laisser manipuler ainsi. Pas comme l’autre andouille avec lequel il faut aller au charbon !! À cette pensée, le dernier soupçon de culpabilité qu’elle pouvait encore éprouver s’envole. Son amant la couvre de baisers ardents, ne néglige aucun recoin de son anatomie. Ses seins, son cou, sa nuque, son visage, ses lèvres, ses paupières sont explorés. Du bout de ses doigts agiles, il frôle sa peau hérissée en de multiples caresses et câlineries. Elle flotte, ailleurs. Il descend vers son ventre, explore son nombril tout en cajolant ses petits seins, il les agace par des frôlements experts sur ses tétons survoltés. C’est décidément la béatitude d’être adorée ainsi ! Une béatitude de maison de pain d’épice… un rêve éveillé de grande, grande fille… Délaissant son ventre, il frôle sa jupe courte et commence à l’embrasser à nouveau au-dessus du genou. Elle soupire imperceptiblement : c’est curieux comme sensation, mais pas désagréable. Il tourne autour de ses genoux, lèche la courbe de ses jambes et descend doucement vers ses pieds. Elle s’inquiète un peu, elle est assez chatouilleuse ! Il frôle une cheville, elle trouve ça insolite, mais jouissif. Il continue sa progression vers le bas, lui tournant presque le dos. Elle décide de mettre la main à la pâte, si on peut s’exprimer ainsi, pense-t-elle, amusée. Avec une précision qu’elle s’ignorait, ...
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