La nuit des sans-culottes
Datte: 02/09/2017,
Catégories:
fhh,
jeunes,
extracon,
copains,
vacances,
boitenuit,
toilettes,
vengeance,
contrainte,
Masturbation
pénétratio,
couple+h,
... résistance s’est un peu émoussée et ce que je n’aurais pas accepté une heure ou deux auparavant, je le tolère dorénavant. Ses prises sont serrées, un peu trop serrées selon moi mais j’admets volontiers que cela puisse être son style. Cela contribue d’ailleurs à sceller notre complicité, sa conduite est plus précise, nos mouvements sont coulés, nos deux corps ne font qu’un, nous glissons sur la piste… J’avais oublié les plaisirs que procure la danse avec un partenaire de cette trempe. Encore fallait-il que je me laisse aller. J’ai baissé ma garde et goûte la chaleur de notre harmonie pas tout à fait innocente aussi bien que le chant des sirènes. — Je t’aime ! C’est pour ça qu’Aurélie m’a largué… Faudrait que je sois naïve pour y donner crédit mais ça fait quand même plaisir. La pause suit à point nommé, je plaque Rémi, rejoins Marc mais ne m’attarde pas et file aux toilettes. J’ai besoin de reprendre mes esprits. Rémi rapplique après un moment. Je suis devant le lavabo, tentant de refaire mon maquillage après m’être rafraîchie. — Arrête… Un leitmotiv familier entre nous, mais cette fois je n’en dis pas plus, son baiser emporte mes derniers mots, sa langue s’active. La mienne ne reste pas longtemps passive. Je ne me rebelle pas quand il rabat la bretelle et dénude mon sein. Il pelote et caresse, notre baiser se fait plus passionné. Puis il abandonne mes lèvres et s’en vient téter et dans le même temps faufile sa main sous ma robe. Je laisse faire… Et l’aide même quand il ...
... entreprend d’ôter ma culotte… Pourquoi ? Qu’il me prenne, je le veux, je suis une chienne, une salope, une moins que rien, je n’ai pas d’excuse, je vais tromper Marc et en suis pleinement consciente. Cette idée pollue mon plaisir mais ne m’empêche pas d’aspirer ardemment à l’adultère vers lequel je m’achemine avec jubilation. L’insolite le dispute au sordide pour attiser le feu qui me ronge. N’y aurait-il pas eu le bruit de pas, j’aurais laissé Rémi me prendre, séance tenante, adossée au lavabo branlant. — Quelqu’un vient ! murmure Rémi. Il me pousse dans la cabine la plus proche et nous y enferme. Notre attente vire au jeu d’adolescent, il m’embrasse, me caresse, me doigte… Le visiteur s’affaire, bruits d’eau qui coule, bruits de portes… Il cogne à la nôtre. — Liliane t’es là ?— Marc ! L’exclamation m’a échappé. J’ai l’impression de prendre soudain conscience de ce que j’allais faire. Je savais ce que je faisais, bien sûr, mais mon mari était loin maintenant il est là. La réalité a changé de dimension. Un début de panique accroît ma confusion. J’ouvre et me précipite dans les bras de Marc, l’embrassant comme si je cherchais déjà son pardon. Il me regarde d’un air hébété, fixe mon sein nu, puis Rémi dans la cabine, bouche et braguette ouvertes, puis ma culotte en évidence sur le lavabo, mais plus tout à fait au même endroit où je l’avais oubliée. Son visage se crispe d’un coup, l’incrédulité fait place aux soupçons. Il vérifie sans un mot, geste mécanique et précis, il sait comment ...