1. La nuit des sans-culottes


    Datte: 02/09/2017, Catégories: fhh, jeunes, extracon, copains, vacances, boitenuit, toilettes, vengeance, contrainte, Masturbation pénétratio, couple+h,

    ... faire : je suis cul nu, c’est indéniable. — Espèce de salope…— Non, Marc, tu te trompes, on n’a rien fait ! Je prends les devants sans savoir le moins du monde quoi dire ou inventer. Inventer ? Je m’en garderais bien ou tout au plus une vérité arrangée mais pas trop ; Marc sent quand je mens. Je ne dois pas lui mentir. Je n’aurais pas à le faire, il ne m’en laisse pas le temps. Il a une réaction violente qui me déconcerte, j’ai d’abord peur puis je prends conscience qu’il se contrôle. J’essaie de me raisonner, prie et tremble. Marc n’est jamais brutal d’ordinaire. Le lien de mon collier a cassé, les perles se dispersent et roulent sur le sol carrelé. Il a résolument fait glisser ma robe sur mes épaules, sur mes bras puis sur mes hanches. Il est rapide et déterminé. Le vêtement gît en chiffon à mes pieds, sans doute déjà souillé sur ce sol plus que douteux. Je n’ose rien dire. Son regard est noir, il m’observe, un rictus mauvais déforme son visage. Je suis face à lui, entièrement nue si ce n’est mes escarpins, mon alliance et la bague qu’il m’a offertes à l’occasion de notre mariage. Mariage ! C’est bien le moment d’y penser. Un flash ! Je comprends soudain avant même qu’il n’ait défouraillé, il veut me violer. Je ne sais si le terme violer est approprié. Quoi qu’il en soit, je lui en donne le droit. Je suis coupable et prête à payer pour mes fautes. Du reste ma prise de conscience ne va pas sans espoir ; je n’ai pas un grand âge mais j’ai néanmoins quelques expériences et ...
    ... sais combien l’oreiller peut être propice pour régler nos différends. Pour le cas, on se passera d’oreiller mais malgré cela je ne désespère pas de trouver la faille, aussi je m’ouvre et me fais accueillante pour recevoir l’assaut. Sans doute rassuré par la tournure des événements Rémi s’approche, je l’aperçois, il tend son bras et ose une caresse timide sur la pointe de mon sein. Marc n’a pas réalisé, absorbé qu’il est à me besogner, assurant sa prise sous mes fesses et enfouissant son visage dans le creux de mon épaule à la naissance du cou, du côté opposé, de telle sorte qu’il ne voit pas l’intrus qui s’est approché. L’initiative de Rémi est quelque peu inopportune mais outre que je serais mal venue de me rebiffer, il y a que je ne veux pas faire de vagues. Je le laisse donc faire mais m’en détourne et me concentre sur Marc que je serre un peu plus dans mes bras noués autour de ses épaules tout en pressant un peu plus mon corps contre le sien. Ses bourrades sont déjà moins sauvages. Difficile cependant de rester concentrée, la perte de ma robe me turlupine, car elle est perdue, je n’en doute pas. Qui voudrait d’une serpillière à chiotte ? C’est bête ! Comment vais-je rejoindre la chambre ? Je m’égare… Rémi pince méchamment mon téton, il essaie d’attirer mon attention. Que veut-il ? Il a sorti son sexe ; il veut que je le branle. Son membre est dur dans ma main, c’est grisant mais pas commode, j’abandonne après une dizaine d’allers et retours et reprends ma prise autour des ...
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