1. La nuit des sans-culottes


    Datte: 02/09/2017, Catégories: fhh, jeunes, extracon, copains, vacances, boitenuit, toilettes, vengeance, contrainte, Masturbation pénétratio, couple+h,

    ... dans ma raie et sur mes fesses. Je n’ai plus aucun doute après avoir vérifié, mes doigts sont poissés de sperme. Je n’ai pas le temps d’essuyer, Marc me serre contre sa poitrine et largue à son tour, les soubresauts de son sexe dans le mien sont perceptibles, la chaleur de ses giclées inonde mon ventre et irradie du bien-être. Il relâche, moi aussi… À cet instant la cavalerie déboule, une armada… Des coups contre la porte, violents, menaçants… L’ordre de sortir, impératif… Stress, humiliation… Le lendemain je constate que ma réputation a pris de la gîte. On me regarde comme un oiseau rare. Deux ou trois types osent des propositions. Au-delà de l’embarras d’être ainsi montrée du doigt, je pense à Rémi :« Les honnêtes femmes sont inconsolables des fautes qu’elles n’ont pas commises », disait Sacha Guitry, je ne saurais mieux dire ; il reste un petit goût d’inachevé. Ceci dit j’ai toujours le sentiment d’être une honnête femme malgré ce qu’on dit ; ces on-dit, qu’Aurélie ne digère pas et qui ont détruit à jamais le mince espoir qui subsistait de la rabibocher avec Rémi. Ce dernier ne semble pas ému par sa disgrâce ; lui et Marc sont désormais copains comme cochons. Notre mésaventure commune les a rapprochés, c’est le bon côté, on fait front commun contre les cons. On parle de se revoir. Nous aurons tout le temps d’approfondir la question et explorer nos opportunités durant le vol, décollage dans la soirée. On a fait en sorte d’avoir trois fauteuils contigus. Quant à notre ...
    ... couple, tout baigne. Marc est vraiment l’homme de ma vie, je l’aime… Macho comme il est, j’avais craint un moment des rebondissements désagréables. Mais non ! Il s’en fout qu’il me dit, tous ces gens ne seront jamais de revoyure selon lui, alors… Son côté outrancier en est même exacerbé, il veut qu’on voyage léger. J’avais prévu un pantalon, il censure et choisit lui-même ma robe, outrageusement sexy, qu’il m’invite à porter sans fioriture, ni lingerie d’aucune sorte. Soucieux de me convaincre, il prône l’exemple et se débarrasse de son pantalon puis de son boxer pour ne renfiler que le premier. — C’est dégueulasse, couiné-je en pouffant. Son argument n’étant pas décisif à mes yeux, il appelle Rémi à la rescousse, opportunément à portée de téléphone. Il n’est pas long à rappliquer ; l’affaire m’a tout l’air d’un coup monté. Une fois au fait de l’enjeu, Rémi convient que lui aussi va agir de la sorte et sur ce, joignant le geste à la parole, me donne à voir ses gambettes et avantages, à ceci près que le larron dresse la trique qu’il a bien du mal à remballer et laquelle dessine ensuite un relief extravagant au regard de la braguette du pantalon. Pour ridicule qu’il paraisse, l’hommage n’en est pas moins flatteur, il me va droit au cœur et aux tripes, je m’esclaffe à m’en rouler par terre… Quand je raconterai aux copines elles ne voudront pas me croire ; si je rédige un post sur Facebook, j’appellerai l’épisode : la nuit des sans-culottes. Pourquoi j’adhère à ce projet insensé ? Je ...
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