1. Les rapports hiérarchiques ne sont plus ceux qu'ils étaient


    Datte: 17/08/2019, Catégories: fhh, hplusag, fplusag, Collègues / Travail fdomine, fsodo, jeu, confession, nostalgie,

    ... parfum de mes souvenirs. Ses mains parcoururent mon corps, lentement, et doucement elle s’accroupit devant moi. J’avais une vue plongeante sur son décolleté, devinant le relief de ses seins. Elle écarta ses genoux et me fit venir entre ses cuisses. Sa robe s’était relevée et je distinguai la peau blanche au-dessus de ses bas noirs, mais son entrejambe m’était caché. Mon imagination s’emballa. Je sentais sans les voir les lèvres de son sexe s’ouvrir et s’humidifier, et ma verge me fit mal. Lili déposait des baisers sur ma braguette et cherchait à dégrafer ma ceinture. Non sans mal, elle fit glisser mon pantalon et mon caleçon, et une queue bien dure frappa son nez. — Mais qu’elle est belle, qu’elle est appétissante ! Cela va me changer, sourit-elle. Elle m’engloutit avec rapacité, et rapidement, ses lèvres carmin coulissèrent sur ma queue pendant que d’une main, elle triturait mes bourses épilées. Elle s’arrêta un moment et regarda Jean-Luc, toujours assis sur le canapé. — Et toi, connard, viens plutôt t’occuper de moi plutôt que de nous regarder comme un vieux vicieux. J’allai de surprise en surprise. Je la croyais soumise à son maître et patron, mais leurs relations semblaient plus complexes, plus troubles. Qui dominait qui ? Je me laissai faire… Jean-Luc vint se mettre à genoux derrière elle et glissa sa main dans la culotte de satin blanc que je distinguai maintenant. Il la branlait avec douceur et après quelques mouvements, retira ses doigts et les huma. — Tu es déjà ...
    ... toute mouillée ma salope… Et toi Arnaud, vas t’asseoir sur le canapé, tu seras plus à l’aise, m’ordonna-t-il. Je reculai lentement et Lili, ne lâchant pas ma bite de sa bouche, avança à quatre pattes. Jean-Luc suivit, il baissa le string de sa maîtresse et se mit à lui dévorer la chatte et le cul. Le jeu dura plusieurs minutes, je me retenais pour ne pas jouir dans la sublime bouche de Lili. À un moment, elle se tourna et d’un ton ferme, demanda à Jean-Luc d’aller chercher Hector. Jean-Luc sourit, se leva et quitta la pièce. La situation me dépassait. Lili vint s’allonger sur le canapé à côté de moi, me goba à nouveau après avoir frappé ses joues de ma queue gluante, prit ma main et la glissa entre ses fesses. — Dilate-moi le cul, mon petit chéri, sinon Hector va me déchirer. Je ne savais que dire. La perversité de la situation me rendait muet. J’obéis donc et avec mon majeur, puis avec deux doigts, je me mis à tarauder son anus qui s’ouvrit avec voracité. Je pensai subitement que c’était la première fois que je mettais mes doigts dans le cul d’une femme avant que d’ausculter son vagin. L’excitation s’en trouva décuplée et je la pilonnai avec violence. Jean-Luc était revenu, il se tenait debout devant le canapé où mes doigts enculaient sa maîtresse sans ménagement. Les mains dans son dos, il souriait. Il s’approcha lentement de la scène. Son visage était maintenant à quelques centimètres de la pénétration digitale. Il semblait fasciné. — Je te connais, vieille salope, dit-il en ...