1. Le cantou


    Datte: 17/08/2019, Catégories: 2couples, couplus, vacances, forêt, campagne, froid, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, échange,

    ... toutes les belles plantes à sa portée. Mais Patricia est-elle à sa portée ? Et Valérie, comment va-t-elle réagir ?… Pour la veillée de Noël, le cantou ! Les enfants sont couchés. On parle, doucement, de choses et d’autres. Aucun bruit ne vient du dehors, on a fermé les volets de bois, la lourde porte. Des gouttes d’eau tombent sur le feu car la neige est de retour. Ils sont dans un triple cocon : la neige, la maison, le cantou. Seuls au monde. Les flammes les éclairent un peu, et les bougies : l’électricité a été coupée peu après le dîner, les fils ou même les poteaux n’auront pas supporté le poids de la neige. Olivier a le dos contre le mur du fond, Valérie est appuyée contre sa poitrine. Il a les bras autour d’elle. Il fait chaud, mais si l’on quitte le cantou, on aura froid. Il faut enlever les chandails. — Une bonne idée, ce serait d’être en pyjama, suggère Olivier. Valérie est réticente. Hubert dit que c’est en effet une bonne idée, et qu’avec sa femme, tous les soirs d’hiver, ils sont en pyjama pour passer la soirée dans le cantou. Quelques minutes plus tard, Hubert et Valérie redescendent de leurs chambres en courant pour ne pas avoir froid, une bougie à la main, dont la flamme vacille. Patricia n’est pas là. — Patricia se change, elle aussi. Elle va redescendre. La voilà, en effet. Elle porte un pyjama bleu ciel, léger, un peu transparent. La pointe des seins fait deux petites bosses. Valérie reprend sa place contre Olivier, qui ne va pas tarder à introduire une main ...
    ... puis l’autre sous la veste du pyjama de sa compagne. D’un geste, Hubert invite Patricia à faire comme Valérie et il appuie son dos contre le mur pour lui tendre les bras. Elle s’y coule. Il déboutonne la veste de pyjama de sa femme et lui caresse les seins, doucement. Il ne tarde pas à en faire rouler les pointes entre ses doigts. Bientôt, il délaisse un sein pour glisser sa main droite sous le pantalon du pyjama. Patricia lui murmure qu’il exagère, qu’il aurait mieux fait d’attendre et, peu de temps après, se crispe en haletant un peu. Dans cette douce torpeur qui ne tarde pas à les gagner, Olivier se sent merveilleusement bien. Valérie ne s’oppose pas longtemps à ce qu’il ouvre sa veste de pyjama. Patricia n’a même plus la sienne : elle a le dos nu contre la poitrine nue de son mari. — Tes seins n’ont pas été abîmés du tout par les jumeaux, lui dit gentiment Valérie.— J’ai fait ce qu’il fallait, quand je les ai sevrés, je les ai traités à l’eau froide pour les raffermir. Mes seins, pas les jumeaux !— On avait compris !— Et quand il y avait de la neige, j’en passais un peu dessus. Ça excitait beaucoup mon cher et tendre. N’est-ce pas, Hubert ?— Et ça m’excite encore ! Tiens, je vais en chercher, de la neige. Il prend une bassine, sort en pyjama et revient très vite, la bassine pleine de neige dans les mains. Il en prend une poignée et frotte délicatement un sein de sa femme, puis l’autre. La neige fond vite, de l’eau coule des seins sur le ventre et se perd dans le pantalon ...
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