1. Le cantou


    Datte: 17/08/2019, Catégories: 2couples, couplus, vacances, forêt, campagne, froid, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, échange,

    ... sa mère. Il fait beau, il ne neige plus, il y a même un beau soleil. Déjeunons de bonne heure et chaussons nos skis. Les traces de la veille sont effacées par la neige toute neuve. Hubert est en tête. Parfois, il soulève un de ses bâtons : un lièvre est passé par là. Une belette. Ils sont presque en sueur quand ils s’arrêtent dans une clairière. Le calme est absolu. Le silence n’est brisé que par quelques paquets de neige qui tombent des sapins. Que c’est beau ! — Vous savez ce que nous faisons, parfois, Patricia et moi, quand il fait si beau et que nous sommes ici, avec nos skis de fond ? Comment le sauraient-ils ? Hubert va bien le leur dire. — Nous nous déshabillons, nous ne gardons que nos chaussettes et nos chaussures et nous repartons, après avoir camouflé nos habits, que nous récupérons une heure ou deux plus tard. Le ski de fond nus sous le soleil, c’est fabuleux ! Olivier se met aussitôt torse nu, et se baisse pour déchausser ses skis. Valérie a hésité. Hubert et Patricia ont déjà fait une boule de leurs vêtements et les déposent dans un arbre creux. Il faut bien les imiter… Les voilà nus tous les quatre, qui glissent sur la neige. — À chacun de nous, à tour de rôle, d’ouvrir la piste, dit Hubert qui s’arrête soudain. Ils sont bien, ils sont beaux tous les quatre, ils sont simplement, paisiblement heureux.— À toi, ma chérie, dit Hubert à sa femme. Suis-la, dit-il à Olivier. Puis il fait signe à Valérie. C’est lui qui ferme la marche. On irait au bout du monde, en ...
    ... suivant les fesses nues d’une jolie femme. Mais elle s’arrête soudainement. Olivier écarte ses skis et vient s’écraser contre le dos et les fesses de Patricia, qui rit gentiment. — Il est difficile de freiner, avec des skis de fond. Ils sont encore l’un tout contre l’autre. Valérie s’est arrêtée, Hubert aussi. Olivier recule un peu, gêné par un début d’érection. — Patricia te plaît, c’est bien normal, lui dit Hubert. Je dois avouer que Valérie me plaît aussi beaucoup et que je regrette de m’être arrêté avant de la heurter. Qui veut ouvrir la marche, maintenant ? C’est Olivier qui est en tête, Patricia le suit. Puis vient Valérie, et enfin Hubert. — Fatiguée, Valérie ? demande Hubert au bout de quelques minutes.— Crevée ! Ils mènent un train d’enfer.— Tu veux qu’on se repose ? Elle appelle les autres : Eh, oh, arrêtez-vous un peu ! Olivier s’arrête, se retourne. Qu’elle est belle, Patricia, avec quelques gouttes de sueur sur les seins et un peu de neige sur le ventre ! Sur les poils du bas-ventre, même. Elle a vu son regard. — Un paquet de neige est tombé d’un arbre au moment où je passais. Elle s’époussette, frôlant les grandes lèvres de son minou que recouvrent quelques poils blonds et frisés. Les deux autres les rattrapent. — La neige irait mieux sur les poils noirs de Valérie, dit Hubert, qui se penche, prend un peu de neige dans la main et la jette sur Valérie.— Une bataille de boules de neige, comme quand on était gosse ! s’extasie Patricia, qui se penche pour se dégager de ...
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