1. Vanessa, elle existe, je l'ai rencontrée. (1)


    Datte: 18/08/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    Eric, seul, divorcé, 62 ans. J’avais une grande sœur, malheureusement décédée il y a quatre ans, et qui vivait à Paris en compagnie de Christian, son mari. Elle me recevait tous les ans, durant huit jours, sachant que j’adorais visiter la capitale. Elle est aujourd’hui partie, mais on s’entend super bien avec mon beauf, comme des frères, et il continue à me recevoir. On est à la retraite tous les deux, lui depuis quelques années du haut de ses 68 ans, et on a les journées entièrement libres. Il y a à peine deux jours que j’ai débarqué, et on repart visiter, de bonne heure, à la fraîche. On marche dans une rue, lorsqu’une jeune et jolie blonde arrive en sens inverse. Je lui jette un regard insistant dont elle se fout complet, et on se croise sans même qu’elle ne nous ait vus, fière de sa jeunesse, imbue et suffisante de sa beauté provocante. Je stoppe et propose à Christian que l’on la suive. Il ne comprend pas pourquoi, mais accepte tandis que je lui explique: C’est un chaud mon beauf, un queutard, et depuis que ma sœur n’est plus là il rattrape le temps perdu. On a déjà eu l’occasion de faire des parties ensemble, et je n’ai aucun scrupule à tout lui avouer. Il sait maintenant que j’écris des histoires érotiques, pour le moins, sur des sites spécialisés, mais aussi que j’adore lire les récits des autres auteurs, et surtout auteures. Il sait aussi que grâce à cela je correspond avec une jeune femelle, qui m’a envoyé des photos d’elle sans même que je ne lui en demande, et ...
    ... que je suis persuadé que c’est elle que l’on suit, même si ça semble invraisemblable. Elle entre dans une station métro, et on la suit toujours. Elle a trouvé une place assise, et on est debout, à deux mètres d’elle. Je pianote sur mon iphone, et montre ses photos à mon beauf: aucun doute c’est elle, son même joli petit visage un peu triste, ses mêmes bijoux. D’après sa présentation sur internet, elle travaille dans l’esthétique, et il nous tarde de savoir où elle va. Sortie du métro, elle file devant nous, sans s’être aperçue de notre présence, et on la voit entrer dans un salon de soins et beauté. BINGO, c’est bien elle, cette petite salope. Je raconte alors à mon beauf la teneur de ses récits, sa passion immodérée pour les grosses bites de blacks, les bites d’animaux, la sodomie à outrance. Je lui dit qu’il faut trouver un moyen de se la faire, pourquoi pas de la voir se faire mettre par un étalon, et on va cogiter là-dessus. On passe la journée à s’imaginer un plan, à le fignoler avec la participation d’un pote à lui, et on va l’exécuter dès le lendemain. On est devant le salon, on observe discrètement, on se rend compte du fonctionnement; il n’y a pas de caissière ou réceptionniste, chacune d’elles fait payer sa cliente, et c’est celle qui est libre ou la plus près qui décroche le téléphone en cas d’appel. Notre belle jeune femme en a fini avec une cliente, et elle est au comptoir. Je suis en retrait, compose le numéro figurant sur la vitrine, et mon beauf me fait deux ...
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