Vanessa, elle existe, je l'ai rencontrée. (1)
Datte: 18/08/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... qu’elle veut le laisser croire, on n’en a pas fini de la faire jouir. On la fouille sans ménagement et elle se mord les lèvres pour ne pas hurler son plaisir. On essaie d’être discret, sans y parvenir, et on est rejoint par trois jeunes qui ont compris qu’ils avaient à faire à une belle putain de salope qui cherche le grand frisson. Ils nous poussent pour se faire leur place, et un d’eux s’adresse directement à elle: — Tu permets que l’on joue nous aussi. Ca ne va pas être suffisant ces deux vieux pour toi, et puis ce n’est pas de doigts dont tu as besoin, mais de queues, de bonnes queues. Regarde la mienne comme elle est belle! Elle jette un coup d’œil, nous aussi, et je suis surpris par son audace: il a déballé son engin bien érigé, une grosse et large bite d’au moins vingt centimètres. Il se glisse derrière elle, et je me recule pour lui laisser la place. Il relève sa robe sur ses reins, la coince dans la ceinture, et elle se retrouve le cul à l’air. Il se plaque contre elle, pour qu’elle sente bien sa raideur dans son dos, et lui adresse à nouveau quelques mots: — Ecarte tes fesses, que je t’encule. Elle s’exécute immédiatement, trop heureuse de cette invitation. Il l’embroche d’un seul coup, elle ouvre la gueule, son visage est crispé, mais aucun son ne sort. Elle sait qu’elle doit se taire et subir. Les deux autres jeunes, tout juste vingt ans, ont sorti leur sexe et ont pris chacun une de ses mains pour se faire branler. Ils s’adressent à leur copain, lui disant de ...
... se dépêcher, que l’heure tourne, et qu’ils veulent leur part. Celui-ci accélère la cadence, la défonce de toute l’ardeur de sa jeunesse, et le visage crispé de notre femelle est maintenant serein, soulagé, ravi de cette brutale pénétration. Il se retire, lui fait faire demi tour, et appuie sur ses épaules. Elle se retrouve accroupie, face à un énorme gland appétissant, rouge de désir, gonflé de plaisir. Elle a juste le temps de le gober, qu’il éjacule: — Avale, avale salope, avale tout. Bois, bouffe, prends tout, je veux que tu me montres ta bouche et qu’il ne reste rien. Il se dégage, elle exhibe sa cavité vide de toute trace, et les deux autres s’empressent de la relever. En moins de deux secondes elle a une autre queue, aussi belle que la première, qui lui prend profondément la température. Le troisième lascar n’a pas la patience d’attendre son tour. Il lui fait face, et soulève l’avant de sa robe pour le coincer lui aussi sous la ceinture. Il prend son sexe, qui n’a rien à envier aux deux autres, à pleine main, le frotte entre les lèvres brulantes et dégoulinantes de notre invitée, et la pénètre jusqu’à la garde. Ils la prennent à deux, en sandwich, recto verso, la décolle du seul, la font sauter sur leurs pieds de biche. Ils sont pressés, ne font rien pour se retenir, bien au contraire, et déchargent rapidement en même temps, en abondance, un entre ses reins et l’autre dans son ventre en feu. Ils se retirent, libèrent la robe, et s’essuient la queue avec, essuient leurs ...