Vanessa, elle existe, je l'ai rencontrée. (1)
Datte: 18/08/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... signes: un pour me dire que la cliente a terminé et que je peux appeler, un deuxième pour me confirmer que c’est bien elle qui va répondre: — Beauté..., j’écoute. — Salut Vanessa, c’est un de tes fans sur xstory. — Excusez moi, mais vous devez faire erreur. — Ne raccroche pas salope. Fais comme si tu ne m’entendais pas, interromps moi, ta patronne ne pourra rien comprendre. — Désolée, mais je vous entends très mal. — Ok, c’est bien, continue comme ça. Maintenant tu vas bien m’écouter et faire ce que je vais te dire. — Parlez plus fort s’il vous plait, je ne comprends rien. — Je suis de passage à Paris, j’ai eu la chance incroyable de te voir hier matin, et je ne pense plus qu’à toi et à tes jolis orifices affamés de grosses bites de vieux. — Excusez moi, mais il y a un problème. Vous pouvez peut-être essayer de rappeler. — Je suis avec mon beauf, et on aimerais bien passer un moment avec toi. — Je vais devoir raccrocher madame, ce n’est plus possible. — Je t’attends demain, au métro à côté du salon. Si tu veux réaliser tes fantasmes, viens à vingt-et une heures précises. — Ah, ça va mieux, on va pouvoir reprendre. — Une autre précision; je te veux en mini robe sans rien dessous. — Entendu madame, c’est noté. Au revoir et à demain. — A demain salope, on compte sur toi. On est au lieu de rendez-vous avec Christian, un peu à l’avance, et on la voit arriver pile à l’heure, dans une ravissante mini robe comme souhaité. On va à sa rencontre: — Bonsoir Vanessa, je suis ERIC64, ...
... comme je te l’ai dit je suis un fou de toi, et voilà mon beau-frère. — Bonsoir, vous espérez quoi de moi? — Ne t’inquiètes pas, on ne veut que te faire du bien, beaucoup de bien. Mais pour commencer on va bouger d’ici; viens, suis nous. — Et si je refuse? — On ne va pas t’emmener de force, mais ce serait dommage pour tout le monde. On est vicieux comme tu aimes, et ce serait con que tu te passes de nos belles queues. dcrdppfy — Ok, puisque je suis venue, autant voir la suite. On tombe d’accord, et elle nous suit bien sagement. On monte dans le métro, on choisit une porte peu encombrée, et on la pousse contre la paroi opposée pour venir se coller à elle. Je me frotte sur son derrière bien en chair tandis que mon beauf se frotte sur sa hanche: — Hum, tu sens comme tu me fais bander? J’aimerais te la planter dans le cul. — Vous êtes fou, pas ici, il y a trop de monde. — Tu as raison, mais rassure toi, tu ne perds rien pour attendre. Et toi, tu mouilles, laisse moi voir. Je glisse ma main sous sa robe, sur son ventre, son bas ventre, sa vulve à l’air libre, parfaitement rasée, huilée à merveille. Je m’adresse à mon beauf: — Fouille la cette pute, elle ne demande que ça, et moi je vais lui fouiller le cul. Il glisse lui aussi sa main sous sa jupe, par devant, et commence son auscultation, tandis que je tâte sa rondelle avant d’introduire mon doigt d’honneur. Christian n’en revient pas: — Oh putain, elle dégouline ta salope! — Oui, et ce n’est qu’un début. Si elle est aussi chaude ...