La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°771)
Datte: 18/08/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Marion au Château – La route entre Brest et le Domaine du Maître était longue. Elle ne m'aida pas à m'apaiser. J'étais tellement impatiente de Le rencontrer enfin... Et en même temps je sentais l'appréhension me gagner. Passer du virtuel au réel était quelque chose que j'attendais depuis si longtemps ! Plus qu’un rêve, c’était un aboutissement dans mon sinueux chemin de la soumission. Mais être à l'abri dernière un écran est nettement plus rassurant que d'être face au Maître réellement. Une fois que je serais au Château, plus de marche arrière possible. Plus encore qu'en virtuel, je Lui livrerai mon corps qui Lui appartient. Et Il pourra en disposer comme bon Lui semble. Le temps d'un week-end au Château, la mère au foyer que je suis n'existera plus. Pendant 48 heures, je Lui appartiendrai totalement dans ce réel, plus encore que durant ces trois années de virtuel. Après une longue route entrecoupée des indispensables pauses relaxantes, j'arrive enfin au joli petit village de Beaujeu. Plus que 5 kilomètres et j'arriverai au fameux Domaine du Maître, au si légendaire Château de la Noble Famille des Evans. Je regarde l'heure. Comme à mon habitude, j'ai une demi-heure d'avance. Je mets donc dans le lecteur CD de ma voiture un nocturne de Chopin pour essayer de me détendre et de faire le vide. Lorsque je remets le moteur en route, je suis calme, limite sereine. Quoi que le Maître décidera de m'imposer, je sais qu'Il ne me fera rien de mal (gravement cela s'entend, j'espère bien ...
... ressentir un minimum de douleur...). Et j'ai volontairement consenti à être Sienne en mon âme et conscience et en étant saine d’esprit. C'est même moi qui Lui ai demandé de bien vouloir se charger de mon éducation. J'arrive enfin à destination. Le Maître m'avait envoyé des photos de Son Château, mais une fois devant celui-ci, on ne peut que se sentir humble devant une telle bâtisse ancestrale. Elle est vraiment impressionnante, flanquée dans un très grand espace fleuri et verdoyant d’un immense parc entretenu et d’une dense forêt en toile de fond que j’aperçois derrière le Château... Obéissante aux ordres que le Maître avait pris soin de me faire parvenir par mail la veille, je descendis de ma voiture habillée d'une courte robe noire arrivant tout juste à la limite de mes fesses, ne recouvrant mes seins que d'une bande de dentelle et ne cachant absolument rien de mes tétons pointant déjà d'excitation. Bien sûr je n'avais aucuns sous-vêtements en dessous. Juste une paire de bas noir auto fixant et une paire d'escarpins à talons sages. Toujours suivant Ses ordres, mon cul portait un plug et ma chatte des boules de geisha à picots. La grille du Château étant grande ouverte, je me mis à traverser le parc et arriva en bas du perron sans trouver âme qui vive. Puis je gravis doucement avec appréhension les marches du Château, oui bien lentement par crainte, essayant d'apaiser les palpitations rapides de mon coeur impatient. Je fis tinter la cloche et baissa immédiatement les yeux. ...