1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°771)


    Datte: 18/08/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... que j'entende le bruit d'une fermeture éclair que je supposais d’une braguette et le gland de l'homme qui se tenait derrière moi qui s'efforçait de trouver un passage au côté du plug. Quand il trouva un passage, il s’enfonça sans préambule d’un coup puissant et profond entre mes chairs intimes. Malgré le bâillon, je ne pus empêcher un gémissement sourd qui me valut à nouveau une série de 10 claques sur le cul, administrées de telle manière qu'à chaque fois je sentais plus précisément le plug et la queue enfoncés en moi. À la fin de cette punition, l'homme ne bougeait toujours pas en moi, bien planté profondément, il me remplissait complètement. Tout d’un coup, il se retira d'un coup sec (je me mordis l'intérieur des joues au sang pour ne laisser échapper aucun son) l'homme me dit: - Tu as de la chance Chienne, je n'ai pas le droit d'en faire plus, le Maître veut se charger de t'élargir Lui-même ton petit cul de chienne. Mais cependant tu vas me prouver que tu peux être une bonne chienne pour le Maître et me nettoyer ma belle queue correctement. A ces mots, je sentis le bâillon tombé, et entendit l'homme faire le tour de la table pour se mettre la queue face à ma bouche. Je sortis donc la langue et commença à lui nettoyer consciencieusement le sexe qui n’avait pas débandé, ce qui parait logique car il n’avait pas éjaculé dans ma chatte. Puis sans prévenir, il fit pression sur ma mâchoire pour en forcer l'ouverture et me baisa la bouche longuement, fougueusement. On sentait ...
    ... qu'il retenait son plaisir pour faire durer la séance. L'homme dont je ne connaissais pas le nom, n'y mettais aucune douceur, s'enfonçant jusqu'au plus profond de ma gorge, aimant y rester immobile jusqu'à ce que des larmes d'étouffement coule sur mes joues, avant de reprendre un mouvement de va et vient d'une force et d'une puissance que je n'avais jamais connu. Quand, enfin il s'immobilisa au fond de ma gorge afin d'y déverser un flot de sperme épais par de longues saccades dans les râles sans fin et tout en me maintenant la tête contre son bas-ventre en empoignant mes cheveux. Je ne pouvais qu'avaler et je m'étouffais presque. Mais prise d'une intuition, je me mis en devoir immédiatement de le lécher avant qu'il ne me le demande afin de le nettoyer. Pendant ce temps il étirait son bras afin de passer ses doigts entre mes cuisses qui je le sentais, dégoulinaient de mouille. Il enfonça le bout de trois doigts dans ma chatte, me provoquant des frissons. Il se retira alors de ma bouche et me fit sucer ses doigts. - Humm, c'est bien tu es une bonne chienne salope. Et qui plus est, une vraie chienne en chaleur ! Tu devrais plaire au Maître. Je vais te mener jusqu'à une autre pièce. Tu devras me suivre à quatre pattes comme la chienne que tu es et attendre le Maître près de la porte en position. Bien sûr, tu ne dois toujours prononcer aucune parole, aucun son. Sache par ailleurs que tu viens de servir de vide-couille au Majordome du Maître, je me prénomme Walter. N'oublie pas ce nom ...
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