La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°771)
Datte: 18/08/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... J’attendis ainsi la tête baissée de longues minutes sans savoir quoi faire quand la porte s'ouvrit brusquement et une voix féminine m'interpela en étant tout de suite très directe, ce qui me mettait déjà dans l’ambiance si je puis dire !: - Ah voilà la nouvelle chienne de Monsieur le Marquis. A partir de maintenant, tu n'as plus le droit à la parole, jusqu'à ce que le Maître lui-même t'autorise à t'exprimer. En attendant pas un mot, pas un son. As-tu compris, chienne ? J'eus la tentation de lui répondre, mais me ravisais rapidement, me rappelant que Seul le Maître pourrait m'autoriser à parler. Je sentis cependant une gifle tombée. Relativement légère mais bien sentie quand même. - Tu as ouvert la bouche pour parler. La claque n'était pas sévère, tu as su te retenir, ceci n'était qu'un avertissement. Je suis Marie, la cuisinière. Monsieur le Marquis te recevra dans une demi-heure. Pour le moment, tu me suis en silence. Marie m'ordonna de me mettre à quatre pattes Je sentis sur mon cou un collier large se refermer et j’entendis l’ordre de la suivre prestement. Sans regarder ses regards moqueurs, je me doutais bien que je devais avoir l'air ridicule, n'ayant pas l'habitude de cet exercice. Surtout que Marie avançait d'un bon pas et je trébuchais sans cesse. Elle me mena à travers d'innombrables couloirs, faisant exprès me semblait-il d'emprunter de nombreux escaliers à monter ou à descendre. Régulièrement pour me faire accélérer le mouvement ou simplement pour le plaisir ...
... certainement, j'avais le droit à quelques coups de martinet sur la croupe, martinet qui était apparu comme par magie, tant j'étais concentrée sur ma marche en quadrupédie. On s'arrêta au bout de ce qui me semblait une éternité dans une petite pièce où trônait une table en son centre. Elle m'y fit prendre appuis dans le sens de la largeur, m'attachant les mains et les chevilles aux quatre pieds de la table, me retrouvant ainsi écartelée, le cul et la chatte relevés et accessibles à qui les voudrait, ma courte robe ne protégeant plus aucun orifice. J’attendis encore un long moment quand une personne entra, que je ne vis pas étant tournée dos à la porte. Marie qui s'était tenue jusque-là en silence dans mon champ de vision, en disparut et j'entendis la porte se refermer derrière elle. Une main baladeuse commença à me caresser la croupe avec une légèreté digne d'une plume, me chatouillant, me faisant m'agiter autant que mes liens me le permettaient. Je sentis une claque sur ma fesse droite et ne pus m'empêcher de pousser un cri. Alors un bâillon força ma bouche et je sentis successivement une série de 10 claques sur mon cul bien senties. Puis les caresses reprirent. La main, dont je ne savais toujours pas à qui elle appartenait, commença à jouer avec le plug enfoncé dans mes entrailles. Cela me tiraillait mais habituée par les exercices que le Maître exigeait que je fasse tous les jours, je ne ressentais pas de réelles douleurs mais plutôt petit à petit des ondes de plaisir. Jusqu'à ce ...