L'été de toutes les expériences - Histoires de Sexe

L'été de toutes les expériences

... sujet-là, il était intarissable. Ses histoires étaient fréquemment abracadabrantes et j’avais souvent du mal à trier le vrai du faux. Mais je me disais qu’en fait, il y avait surtout du faux dans ses élucubrations. — Ma femme, c’est une belle femme, bien comme il faut, avec tout ce qu’il faut, là où il faut. Elle est vraiment bien chaude, elle a très chaud aux fesses. Et puis, une femme comme ça, avec un beau derrière, si tu ne veux pas qu’elle aille voir avec les voisins, il faut que tu y ailles bien à fond, il faut lui en mettre un bon coup, il faut vraiment la rassasier. Sinon tu te retrouves avec des cornes. Il parlait ainsi d’elle. J’aurais bien aimé la connaître. À ses dires, elle était super canon, super bandante, une grande métisse aux formes arrondies, avec un cul « bien comme il faut », qui donne envie de la niquer. Mais son épouse était bien loin d’occuper tous ses fantasmes. Il me parlait beaucoup plus souvent des filles dans les étages. Les étages, c’était les bureaux, les services administratifs. D’ailleurs, pour dire vrai, il n’y avait qu’un seul étage. Les filles dans les étages, c’était pour la plupart des secrétaires, c’était surtout de belles salopes bien chaudes qui tortillaient du cul et qui aimaient se faire peloter. Il me racontait toujours des histoires extravagantes à leur sujet, comme celle de cette vicieuse qui avait mis son bureau tout en haut des escaliers. Elle se mettait toujours cul à l’air. Comme ça, les représentants, quand ils passaient, en ...

... profitaient pour lui mettre des mains au cul… Et puis, il y avait aussi cette chef comptable, celle qui paraissait si sévère, très trou-du-cul-coincé. Son plaisir à elle, c’était de se faire brouter la foufoune, sur la photocopieuse, par la chef du personnel, une vieille bonne femme de la « haute » qui était tout aussi prout prout qu’elle. Et, lorsque ces deux vieilles gouinasses se bouffaient la cramouille, les autres filles en profitaient. Et ça baisait vraiment de tous les côtés. Et il y avait toujours plein de mecs qui venaient, pour satisfaire toutes ces « chaudasses ». Là-haut, ça baisait à la chaîne, elles avaient toutes le feu au cul. Noël y allait de temps en temps, car il fallait porter les bons. Comme ça, il pouvait en profiter ! Mais, pendant qu’il était en train d’en baiser une, celle-ci se trouvait souvent un autre mec à sucer et un troisième pour l’enculer. Elles étaient tellement vicieuses qu’elles avaient besoin d’être comblées de tous les côtés. Il fallait quand même faire attention et regarder de temps en temps derrière, pour éviter que l’enculeur ne se trompe de petit trou. Car, lui ne faisait pas la différence, et tu te retrouvais vite fait avec une bite dans le cul. J’avais quand même beaucoup de mal à imaginer toutes ces secrétaires en train de partouzer. « Un jour, tu verras, je t’emmènerai. » Mais ce jour-là ne venait bien sûr jamais ! Il n’empêche que quand il en voyait une passer dans la cour, il la haranguait, il l’interpellait, il lui faisait des ...