L'été de toutes les expériences
Datte: 21/08/2019,
Catégories:
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jeunes,
Collègues / Travail
nympho,
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... signes. Certaines d’entre elles ricanaient, d’autres gloussaient bêtement. Mais, dans l’ensemble, on voyait bien qu’elles n’étaient pas toutes aussi « salopes » qu’il le laissait entendre. En ce qui me concerne, il m’avait trouvé deux « prétendantes », les deux filles de la pluche, celles qui passaient leur temps à peler les légumes, des copines à lui, paraît-il. Il me disait que, depuis mon arrivée, elles s’intéressaient beaucoup à moi et qu’elles avaient toutes deux très envie de « m’essayer ». Il aurait quand même pu mieux les choisir ! Rachida, une grande Arabe dans la trentaine, incroyablement vulgaire, avec une très grande gueule, une gouaille pas possible. Quand elle passait du côté des entrepôts, elle braillait : « Alors les beaux mâles, vous avez les couilles pleines ? » Elle se faisait inviter, on lui payait des bibines. Elle riait fort et était toujours graveleuse. Elle parlait cul avec tout le monde, pour plaisanter, disait-elle. Mais c’était plutôt une sacrée obsession. Je crois que s’il avait fallu désigner une salope dans la boîte, elle aurait été hors compétition. C’est vrai qu’elle me faisait du gringue. Quand je passais en cuisine, elle me lançait des gros clins d’œil. Parfois, elle passait en plus sa langue sur ses lèvres pour m’exciter. Je ne savais jamais vraiment si c’était du lard ou du cochon, si c’était pour sortir avec moi ou pour se payer ma bobine. Noël disait parfois que tous les mecs de la boîte lui étaient passés dessus (et même le grand ...
... patron, disait-il). Il n’en demeure pas moins qu’en ce qui me concerne, je manquais encore à son tableau de chasse. Quant à sa copine Nadège, elle était du genre « poids lourd », une très grosse bonne femme avec des fesses énormes. Ce qui me choquait le plus, quand elle enlevait sa coiffe (obligatoire en cuisine), c’est qu’il y avait de quoi être effaré par tous ses cheveux gras, des cheveux noirs tout raides qu’on aurait dit enduits d’une plaque de margarine. Les deux femmes étaient inséparables. Je ne sais pas ce qu’elles se racontaient, mais elles riaient grassement à longueur de journée. — Elles parlent toujours de mecs, elles sont obsédées par les bites, ça les démange vraiment, ces deux grosses vicelardes, me disait Noël, sur le ton de la confidence. Un des grands fantasmes de mon collègue, c’était d’imaginer une partouze à quatre, avec les filles : lui, moi et ces deux « chaudasses ». Par contre, invariablement, c’est moi qui me retrouvais le plus souvent avec la grosse Nadège. — T’as vu ce gros cul ! Un vrai garage à bites. Alors tu peux y aller franco, tu la défonces bien à fond. Elle aime ça, cette grosse chaudasse, et il y a de quoi faire. Tu te plantes bien derrière elle et t’y vas franchement, tu lui bourres son gros cul. Avec le cul qu’elle a, il y a même de la place pour deux. Ce faisant, il mimait les coups de reins dans le cul de la donzelle. Ensuite, Noël passait à autre chose, peut-être à l’histoire délirante de cette ex-voisine, qui vivait près de chez lui à la ...