L'été de toutes les expériences - Histoires de Sexe

L'été de toutes les expériences

... d’expériences homosexuelles avant ce jour-là : juste quelques caresses et il m’était aussi arrivé plusieurs fois de sucer des mecs. Rien de plus, aucune pénétration, j’en rêvais pourtant depuis toujours, mais sans oser passer à l’acte. Etait-ce l’effet du rhum ou ses propos salaces ? Mais, j’ai sauté le pas dans ma tête, j’ai décidé de profiter de l’occasion, j’ai décidé de me faire mettre. Depuis pas mal de temps déjà, j’avais envie de lui, envie de le caresser, envie de l’embrasser. Mais je me posais encore pas mal de questions sur son désir à lui. « S’il t’a attiré chez lui, c’est clair, c’est pour qu’on baise ensemble, tous les deux, comme des pédés. » Je ne savais pas encore comment j’allais m’y prendre. Il fallait que je lui fasse comprendre que, s’il en avait vraiment envie, j’étais à sa totale disposition, prêt à tout lui offrir. « De toutes façons, il ne t’a pas amené ici pour rien, il a choisi justement le jour où sa femme n’est pas là et il t’a fait boire plus que de coutume, c’est bien qu’il a des idées en tête. Et puis, toutes ces histoires de mecs qui s’enculent, si c’est pas un clin d’œil ! » Alors je me suis lancé : — Eh bien moi, à l’internat, un jour que je me battais avec un mec et que nous nous roulions par terre, je me suis aperçu, à un moment, qu’il bandait. Et moi aussi, je me suis à bander. Nous étions en pyjama tous les deux, et nous bandions l’un contre l’autre en faisant mine de combattre.— Et alors, qu’est-ce qui s’est passé ?— Eh bien, les ...

... autres étaient juste à côté. Alors nous nous sommes séparés et nous sommes allés nous coucher pour avoir l’air de rien.— C’est tout ?— Non, c’est pas fini. Quelques jours plus tard, nous nous sommes retrouvés aux lavabos tous les deux. Nous nous sommes regardés. Puis il m’a attiré dans une cabine de douche et là, il m’a embrassé. Nous sommes restés un long moment à nous rouler des pelles.— Et tu bandais ?— Tu parles si je bandais !On bandait tous les deux, et lui encore bien plus que moi.— Et vous vous êtes sucés, vous vous êtes enculés ?— Non, nous nous sommes juste branlés l’un l’autre, jusqu’à cracher toute la purée.— Vous êtes cons ! Il fallait en profiter, fallait vous enfiler ! En profiter, facile à dire. Mais moi, au moins, mon histoire, elle était vraie ! — Je crois qu’on avait aussi un peu peur d’être pédés, c’est pour ça qu’on n’avait pas très envie d’aller trop loin.— Il avait un beau cul ? Il avait une belle bite ?— Un cul normal, une bite normale.— Et vous avez juté où ?— Par terre et sur le mur.— Et ensuite ?— On a recommencé plusieurs fois par la suite. Souvent dans les douches ou alors dans l’escalier qui menait à la terrasse.— Et vous ne vous êtes jamais empapaoutés ?— Non, jamais, juste branlés et embrassés. Mais, maintenant que tu en parles, c’est vrai que j’aurais bien aimé qu’il me le fasse, j’aurais aimé qu’il m’encule.— Tu es un vrai petit vicelard !— La nuit, j’en rêvais souvent, j’imaginais que j’étais penché contre le mur, dans la douche, ou alors à poil ...