L'été de toutes les expériences
Datte: 21/08/2019,
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Collègues / Travail
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... vraiment pencher en avant, j’aurais aimé qu’il se mette derrière moi et qu’il me bourre le cul. Mais maintenant c’était chose faite et c’était divinement bon. Je l’ai senti se vider entièrement dans mes entrailles. Cela n’avait pas duré très longtemps, pas assez longtemps à mon goût. Et même avec le cul rempli, j’avais encore envie de me faire mettre. Il est sorti, j’étais un peu déçu. Il s’est retiré et s’est rhabillé en silence. — Je vais te raccompagner au bus. Il devait rejoindre sa femme à la fête. Quant à moi, je suis rentré chez moi, le cul rempli de sperme et des images plein la tête. Le lendemain, lors d’une pause bibine, nous nous retrouvâmes tous les deux dans la réserve. Pour retrouver mes sensations d’antan, j’aurais vraiment aimé qu’il me roule une pelle mais il n’avait pas l’air décidé pour les embrassades. — Arrête d’essayer de m’embrasser, tu me sautes dessus comme une tapette. Tiens, montre-moi plutôt si t’es une bonne suceuse. Je me suis agenouillé devant lui pour lui pomper le dard. Je suis bien appliqué, essayant d’imiter dans mes gestes la plus douée de mes copines, je lui ai fait tout cracher et j’ai tout avalé. Par la suite, nous avons remis le couvert assez souvent, deux ou trois fois par semaine environ. La plupart du temps, je le suçais, parfois aussi il me sodomisait sur des cartons. Nous faisions très attention, pour que personne ne nous remarque. Et lorsque nous n’étions pas suffisamment « tranquilles », il préférait m’emmener dans la campagne, ...
... après le boulot et là, il m’enculait dans l’herbe. Je me sentais de plus en plus femelle et j’avais très envie d’essayer d’autres mâles. D’autant plus que celui-là était, à mon goût, quand même assez limité. Et surtout, ça me choquait qu’il ne veuille pas m’embrasser. J’ai cherché dans mon entourage. Bizarrement, je me sentais très attiré par Jacques, le vieux contremaître. Je ne sais trop quel détail me laissait supposer que lui aussi était peut-être attiré par les hommes, quoiqu’il ait été marié et qu’il n’en montre rien. Un ressenti, beaucoup plus que des faits concrets. J’étais persuadé qu’il devait avoir déjà baisé avec des hommes et je ne pouvais pas me tromper. Jacques, c’était tout le contraire de Noël, c’était un grand colosse trapu, bedonnant et viril, une poitrine extrêmement velue et cette énorme barbe de patriarche. Je fantasmais sur cet homme, j’avais envie de lui, beaucoup plus que de Noël. J’ai décidé de tenter le tout pour le tout. Je lui ai demandé un entretien privé, soi-disant pour envisager la poursuite de mon contrat en automne. — Alors, comme ça, tu te plais bien parmi nous ? Pas trop dur avec Noël ?— Non, tout va bien, je suis bien ici… Je n’ai qu’un seul petit problème…— Ah bon, et lequel ?— Je te trouve très séduisant.— Pardon ?— Tu me plais, tu m’excites, j’ai envie que tu me baises. Tu comprends ? Il me regardait, assez sceptique, en se tripotant la barbe. — Et qu’est-ce qui te dit que j’ai envie de ça ?— Je ne sais pas, une simple impression, j’ai ...