1. Séverine I


    Datte: 21/08/2019, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation pénétratio, confession, bourge,

    ... vraiment une, était une flèche qui se plantait en plein dans le mille. Je devins toute rouge. — Pourquoi me dites-vous cela ? tentai-je maladroitement de protester.— Car je l’ai vu dépasser de ton tailleur en venant m’asseoir. J’adore ton cul, je le mate dès que possible. Un bon cul de bourgeoise dans ses petits tailleurs sexy.— Stéphane ! Ma voix montrait plus d’émotion que d’exaspération. Je devins encore plus rouge mais ni de honte ou de colère. Un poing brûlant venait d’apparaître entre mes jambes croisées sous la table. Sa chaleur se répandait déjà dans mon corps. Je savais en mon for intérieur que j’étais dans l’incapacité la plus complète de lui résister. — Pour moi, t’es la plus bandante de cette boîte.— Je suis mariée au cas où tu ne le sais pas.— Je parle pas d’amour ou de couple. Je te parle de cul, de sexe. Je te parle de ton string que j’ai envie de rendre humide, de ton bonnet C qui m’excite, de ta bouche que je veux sentir autour de ma queue. J’ai envie de te baiser, Séverine. C’est aussi simple que cela. Tu es exactement le genre de bourgeoise que j’aime soumettre. On ne m’avait jamais parlé ainsi. On ne m’avait jamais frappée aussi juste avec si peu de mots. En quelques phrases, il m’avait tendue de désir. J’étais électrifiée, haletante. La rougeur de mon visage devait se voir à mille lieues à la ronde. Heureusement que le réfectoire était quasiment vide. — Je vais me lever et toi, tu vas finir ton repas. Quand tu auras fini, tu vas me rejoindre dans le ...
    ... bureau vide du dernier étage, à côté des archives. Le quatre cent vingt-deux. Il se leva sans finir son repas ou me jeter un regard. Il disparut du réfectoire, sûr de lui. Je finis mon plateau sans penser à rien. Je sentais juste mon cœur battre la chamade dans ma poitrine et une douce chaleur irradier depuis mon entrejambe. Je savais que j’allais le rejoindre. Après avoir débarrassé mon plateau, je pris les escaliers pour ne croiser personne et frappai à la porte du bureau inutilisé. Mes jambes étaient en coton. Il m’attendait derrière, assis dans un vieux fauteuil, à côté de cartons et de dossiers empilés. — Ferme à clé et avance au milieu de la pièce. Sans un mot, je m’exécutai. — Tourne sur toi-même, laisse-moi regarder ce corps que je vais soumettre. Sans vraiment comprendre ce qui se passait, je mis les bras en l’air et fis deux tours sur moi-même. Mon string était trempé. — Relève ton tailleur et montre-moi ton cul. J’obéis sans opposer de résistance. Sa voix prolongeait ses regards. Un érotisme maîtrisé, une volonté à toute épreuve. Le frôlement du tissu sur mes bas puis sur la peau de mes fesses fit monter d’un cran mon excitation. Il regardait maintenant mes deux fesses rebondies avec le petit string en dentelle rose qui disparaissait entre. — Bien, très bien Séverine. Ça me plait tout cela. Approche-toi de moi.— Oui, dis-je sans voix. Et là, crûment, il me palpa les fesses. — C’est du bon cul de bourgeoise hein ? dit-il. De la bonne fesse à claquer et à pétrir. Je ...