1. Ecole du sexe (18)


    Datte: 22/08/2019, Catégories: Hétéro

    ... atteignirent, Alice commença à dandiner, soit par impatience, soit par l’effet du stress. Mes mains caressèrent son épiderme et je ressentai du plaisir à procurer ce bien à Alice. Mais peut-être ce plaisir venait-il plutôt de la jambe de ma dulcinée qui, dans un mouvement périodique, venait frotter mes parties génitales, désormais à l’optimum de leur dimension. Doucement, mes doigts se rapprochaient de son antre, celui qui, pour cet examen, allait faire office de sujet. Suivant le rythme de mes mouvements, les respirations d’Alice se faisaient plus bruyantes et bien plus enivrantes. Lorsque mon index atteignit son passage secret, je sentis des frissons parcourir mon corps. Alice, de son côté, tremblait ; elle semblait attendre impatiemment la suite des événements. Moi aussi, me devais-je d’avouer. J’approchai alors lentement mon bassin de son fondement qu’Alice avait, une petite dizaine de minutes auparavant, enduit de lubrifiant afin de ne pas être blessée. -Tu es prête ? lui demandai-je en me retenant de m’introduire en elle sur le champ. -Plus que jamais, répondit-elle dans un murmure brûlant. Sa réponse suffit pour que je fisse avancer mon bassin de quelques centimètres. Mon sexe, tendu contre le sien, s’introduisit en elle sur ce même rythme lent mais agréable. Plus je m’avançais dans son antre étroit, plus je ressentais les contractions de son corps resserrant l’étau humide emprisonnant ma colonne de chair. Plus j’avançais profondément dans son fondement, plus ses cris ...
    ... devenaient puissants. Plus je m’enfonçais en elle, plus je me sentais heureux de partager ma vie avec cette femme. Lorsque mon pubis, que j’avais rasé -pas entièrement- pour les examens, toucha la rondeur de son postérieur, je fermai les yeux et appréciai l’instant. Je me rappelai alors de notre première rencontre, à Alice et moi. C’était le tout premier jour. C’était lors de notre épreuve d’admission. Après l’avoir sauvée d’un élève aux mœurs répugnantes, j’étais devenu son partenaire et j’avais dû l’officialiser par une sodomie. Cette époque me semblait lointaine, révolue, mais cette époque me tenait à cœur. Toutefois, au jour d’aujourd’hui, j’appréciais plus encore les bienfaits du corps de ma dulcinée. Décidé à partager le plaisir que je ressentais, j’entamai des mouvements de va-et-vient en elle. Alice gémissait chaque fois, et j’aurai pu mettre ma main à couper qu’elle ne simulait aucunement. Sortir de son corps, y entrer à nouveau. Sortir derechef, entrer derechef. Seul comptait se mouvement, doux et passionné, érotique et poétique, magique et réel. S’ensuivirent plusieurs minutes au cours desquelles mes émotions ne changèrent pas le moins du monde. Alice non plus, si j’en croyais ses couinements. J’attrapai ses cheveux blonds et les regroupai en queue de cheval lorsque je m’aperçus que quelques-uns de ces derniers s’introduisaient malencontreusement dans sa bouche et, cela va sans dire, la gênaient, bien qu’elle ne l’admettrait pas. -Alice, je ne vais plus tenir très ...
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