1. La balade irlandaise


    Datte: 22/08/2019, Catégories: fh, hplusag, grossexe, facial, Oral

    ... à articuler entre deux baisers. Balou insista pour déshabiller complètement sa filleule. Il prit son temps. Il dégusta cet effeuillage, huma chaque vêtement en se délectant de l’odeur. Il admira le corps, la douce peau qu’il découvrait vraiment. La volupté de l’instant le faisait gémir lui aussi. Magali était maintenant couchée nue sur le lit. Il l’admirait. Elle le regardait avidement et, devant lui, elle se remit à se masturber. Balou voyait la toison blonde, la fente rose aux petites lèvres s’ouvrir comme une fleur. La rosée étincelait cette belle orchidée. Les doigts de Magali la pénétraient, elle titilla également son pistil dressé. Elle se livrait entière aux regards de cet homme qu’elle aimait profondément. Balou, le regard rivé vers cette douce toison, se jeta entre les cuisses de sa jeune amante. Il voulait la boire, respirer son parfum, la découvrir avec sa bouche. Magali hurla dès que les lèvres de son aîné se posèrent sur son intimité. Sa langue taquina son pistil. Ensuite, elle la sentit la pénétrer. Son ventre se crispa, elle connut un orgasme fabuleux. Elle appuya la tête de son amant contre le centre de son plaisir en jouissant comme une damnée. Son ventre déversait un feu de joie qui la foudroya. Oui, damnée elle était, elle le savait. Le pêché de chair, le fait de braver un interdit accrut encore davantage son extase. Elle cria sans retenue aucune le prénom de son parrain. Balou suça, lécha, pénétra cet antre du plaisir dont le miel coulait sur son ...
    ... menton. Il écoutait Magali hurler, il la sentait jouir. L’orchidée accueillit deux doigts qu’il fit rapidement coulisser en elle. Il se rendit vite compte que les va-et-vient ainsi activés déclenchèrent une seconde vague orgasmique dans le corps de sa petite amante. Il se releva légèrement et il la regarda avec tendresse jouir sous ses caresses. — Déshabille-toi, je veux te voir nu, supplia ensuite Magali. Il s’exécuta de bonne grâce, son amante le regardait faire, allongée maintenant sur son ventre, ses deux mains sous son menton. Magali le vit enfin nu. Ses yeux bleus ne quittaient pas l’objet démesurément allongé qui tressautait au bas-ventre de son aîné. Les lourdes bourses se balançaient comme le balancier d’une horloge comtoise. Les cuisses musclées et velues, la toison pubienne noire d’où émergeait ce dard, attirèrent aussi son regard. Elle se leva, s’approcha de Balou. Timidement, ses doigts se posèrent sur sa poitrine velue. Balou était debout nu face à son amante. Elle se leva et lui caressa la poitrine. Puis il vit les blanches mains de Magali se poser sur sa hampe. Dès cet instant, il perdit toute notion de la réalité des choses. Le vertige de l’interdit l’attira, il se laissa tomber pour toujours dans ce puits de luxure. La petite peste s’agenouilla devant lui. Ses mains caressaient les cuisses. Puis Balou vit les lèvres roses se poser sur le gland. Une bouche chaude se mit ensuite à le sucer timidement. — Je le fais bien ? demanda une voix de poupée. J’ai pas trop ...
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