Les dépanneurs - Histoires de Sexe

Les dépanneurs

... doigts insidieux fouillaient son intimité. Un craquement lui annonça l’agonie de son chemisier qui fut déchiré sans pitié. Une paire de main écarta ses jambes tandis que sa culotte volait dans la pièce. Désormais nue, elle était à la merci de ces deux athlètes qui se déshabillèrent à leur tour. Ils la couchèrent sur l’épais tapis après avoir poussé la table. L’un d’eux écarta ses cuisses brutalement et sa bouche fouilla son sexe trempé. Martine sentit le contact de cette langue sur son clitoris et elle ouvrit sa bouche pour gémir. C’est le moment que choisit l’autre garçon pour enfouir sa longue verge dressée dans la bouche offerte. Martine attrapa ce sexe chaud dans ses mains et l’honora de sa langue mouillée. L’énorme gland violet vibrait dans sa bouche tandis qu’elle le poussait au fond de sa gorge. Elle sentait également un plaisir violent labourer son bas ventre sous l’effet des doigts inquisiteurs qui fouillaient ses chairs. Prenant l’initiative, Martine se mit à quatre pattes. Offrant sa croupe à la saillie, elle rattrapa dans sa bouche le pénis suintant qu’elle avait abandonné. Elle sentit sans surprise un sexe énorme pénétrer en elle, des mains fermes attrapant ses hanches. Un coup de rein sec introduisit complètement ce phallus qui se mit à coulisser en elle. L’énorme gland de l’homme entrait entre ses lèvres avant de se propulser au fond du vagin pour finir sa course contre l’utérus de Martine. Les bourses frappaient le clitoris de la femme à chaque coup de ...

... boutoir. Les coups de reins sur ses fesses enfonçaient dans sa gorge le pénis qu’elle suçait. Ce rythme frénétique se prolongea quelques minutes et porta Martine au bord de l’orgasme. Mais le jeune étalon stoppa la saillie. Se couchant sur le sol, sexe dressé à l’horizontale, il força Martine à s’asseoir dessus. À califourchon elle s’exécuta et s’empala sur ce membre. Ondulant ses reins elle branla en elle ce bel outil. Mais elle sentit une main la pousser en avant, présentant ainsi ses fesses à l’inévitable. Le deuxième homme se posta à ses arrières. Lubrifiant l’anus fatal d’un jet de salive, il s’y introduisit lentement et fit coulisser son instrument dans l’orifice étroit. Martine sentait distinctement ces deux sexes en elle. Elle n’aurait jamais imaginé subir de tels assauts. Prises en sandwich entre ces deux beaux males, les seins et les fesses écrasés contre les torses en sueurs, les sources de plaisirs étaient telles qu’elle ne discernait plus ce qu’il se passait. Elle ne mit que quelques secondes avant de jouir prématurément avec violence. Son corps fut secoué de spasmes et elle cria de toutes ses forces le plaisir qu’elle ressentait. Après quelques secondes d’inconscience, elle émergea de son orgasme, toute chavirée. Les deux hommes qui s’étaient retirés lui présentaient leur sexe. Elle devait maintenant payer son orgasme égoïste. Pendant qu’elle branlait l’un des pénis, l’autre se fit sucer goulûment. Elle y mit tant de vigueur que les deux sexes ne tardèrent pas à ...