1. Séjour fantastique (1)


    Datte: 25/08/2019, Catégories: Lesbienne

    ... réveil de l’un des personnages, qui affiche peu ou prou la même heure, juste avant qu’il se passe quelque chose... Quelle conne... Je ferrai mieux de penser à Titanic ou un autre film du même style. Mais mon esprit refuse de m’obéir et trouve plus amusant de dériver vers Sixième Sens. « Je vois des morts partout...» Bon, Alice, ta gueule ! Et puis il faut vraiment que j’aille pisser. Je prend une grande inspiration pour me donner du courage, je repousse la couverture sur le côté, je m’assois et je tourne mon portable de manière à éclairer le sol. Je me lève ensuite et contourne le lit avant de me diriger vers la porte. Ce faisant, je passe tout près de ma sœur. Apparemment profondément endormie, elle est étendue sur le dos au centre d’un matelas gonflable placé le long d’un mur. Seule sa tête et sa main droite dépassent de la couverture. Malgré le froid qui règne à l’étage, Stéphanie ne porte qu’une nuisette. Je me demande tout de même si elle a quelque chose dessous... Soudain, l’envie me prend d’aller vérifier. Je m’imagine repousser l’épaisse couverture, puis poser ma main sur l’une de ses jambes. Mes doigts, fébrilement, se dirigeraient ensuite vers sa cuisse avant d’aller vérifier si une ultime barrière protège la source de tous les plaisirs. Mais quand bien même ce serait effectivement le cas, mes doigts n’auraient aucun mal à se faufiler sous la fine couche de tissu. Là, je caresserai son minou, doucement, lentement, en jouissant de ce moment. Je saisirai ses lèvres ...
    ... entre mes doigts, je les pincerai délicatement, je tirerai légèrement dessus. Puis j’enfoncerai profondément mes doigts dans sa chatte pour y récolter son délicieux nectar dont je me délecterai ensuite avec gourmandise. Oui, ma belle, vas-y, fantasme, me dis-je en observant toujours Stéphanie. Je parviens enfin à penser à des choses agréables. Mais à peine me suis-je faite cette réflexion qu’une vision d’horreur me fait frissonner. Ma sœur ouvre brusquement de grands yeux et, sans dire un mot, elle me fixe intensément. Son visage a changé. Ses traits sont tirés, émaciés, comme si elle avait vieilli de plusieurs années. Sa peau est grisâtre, elle fait peur à voir. Et je n’aime pas ce regard qu’elle me lance. — Ça va ? parvins-je tout de même à lui demander. Sa bouche s’ouvre, ses lèvres bougent, comme si elle disait quelque chose, mais elle n’émet aucun son. Tout à coup, la chambre se retrouve plongée dans l’obscurité. Surprise, je laisse échapper un petit cri. Portable de merde ! Précipitamment, j’appuie sur une touche et la lumière apparaît à nouveau. Stéphanie a maintenant les yeux fermés. Elle dort visiblement. Je me penche vers elle. Son visage est celui d’une adolescente tout à fait attirante. Tout est normal. Ce n’est que mon imagination qui me joue des tours. Il est plus que temps que j’aille pisser et que je me rendorme... Je me dirige alors vers la porte, en me jurant que de retour à la maison, je me débarrasse de ma collection de films d’horreur pour la remplacer par ...
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