1. L'acceptatrice (3)


    Datte: 27/08/2019, Catégories: Divers,

    ... assourdie et elle me tartina les narines avec un baume embaumant l’eucalyptus. » Nathalie me guida jusqu’à son lit, et elle m’y fit asseoir. Elle déboutonna mon chemisier, me l’enleva, dégrafa mon soutien-gorge et me l’ôta. Une poussée me fit m’allonger sur le lit, où ma jupe et ma culotte partirent également. J’avais les pieds dans le vide, elle me débarrassa de mes chaussures, et je sentis sa langue s’attaquer à mes orteils, faisant disparaitre toute trace de Nutella. Elle me chatouillait, et je faillis lui demander d’arrêter, mais ma promesse de silence me retint. Elle fit pivoter mon corps, et m’écarta les bras et les jambes. J’étais nue sur son lit, les membres en croix, mais la privation de la vue atténuait mes inhibitions. Je ne voyais rien, donc on ne me voyait pas. Elle enleva le coton d’une de mes oreilles. « Je vais t’enlever le toucher. »Elle remit le coton et m’attacha sur le lit, commençant par les mains, continuant par les pieds, et terminant par deux liens sur ma poitrine , l’un sous les seins, l’autre au dessus. Elle resserra les cordes, réduisant au maximum mes capacités de mouvement. Je pouvais bouger la tête, mais c’était tout. A peine m’étais-je dit cela que Nathalie tira sur mes tresses et s’en servit pour immobiliser la dernière partie de mon corps encore mobile. J’essayai de tourner la tête, mais mes nattes me retenaient. Nue, exposée, offerte, la confiance et la méfiance s’entremêlaient. Et si c’était une tueuse en série ? N’avait-elle pas dit ...
    ... qu’elle aimait faire mal ? Serait-elle aussi douce que pendant le repas ? Je me sentais bien, finalement, n’ayant rien d’autre à faire que de me laisser guider et d’attendre. Elle m’embrassa, collant son corps habillé contre le mien. Je sentis ses doigts s’immiscer dans mon vagin et en retirer ses socquettes, qu’elle me mit dans la bouche, tout imprégnées de mes sécrétions intimes. Un morceau de bande adhésive vint sceller mes lèvres. Ça y était, elle s’était occupée de mes cinq sens. Elle s’absenta quelques instants, puis revint, frottant son corps contre le mien : elle me semblait être nue, mais je ne pouvais pas la voir. Je sentis sa tête entre mes jambes, et elle commença à s’occuper de moi, sa langue jouant avec mon bouton et ses doigts rentrant et sortant de mon sexe. J’explosais de désir une première fois, tentant de me débattre entre mes liens, mais sans aucun résultat. Elle s’écarta de moi, me délia les pieds et vint me mordiller et me sucer les seins dont les tétons érigés durcirent encore davantage. Une cordelette vint les enserrer, tous les deux, cordelette qu’elle s’amusa à tirer, de plus en plus fort. La douleur qu’elle provoquait se mélangeait à mon excitation. Elle attacha ensuite les bouts libres des ficelles à mes gros orteils, de telle sorte que je devais garder les jambes en l’air si je ne voulais pas moi-même torturer mes pointes de seins. Sa bouche reprit possession de mon intimité, je sentais sa langue investir les moindres recoins de mon sexe. Mon cœur ...