1. L'acceptatrice (3)


    Datte: 27/08/2019, Catégories: Divers,

    ... lui dire, voici une quinzaine de minutes, qu’elle pouvait me mettre la main au cul, et hier déjà je lui avais annoncé être prête à presque tout. A mes yeux, je ne pouvais pas reculer et me dédire. Mes larmes coulaient désormais en continu, je serrai les dents, regrettant ses socquettes qui m’avaient fourni de quoi atténuer ma douleur, et tout à coup je me mis à hurler : sa main venait de rentrer en entier. Elle continua à pousser, enfonçant sa main jusqu’au poignet, la ressortant presque, replongeant dans mon anneau qui ne pouvait plus mériter l’adjectif d’étroit, fermant son poing puis le desserrant. La douleur ne pouvait plus augmenter tant elle avait atteint des sommets. Elle sortit entièrement la main, pour la réintroduire aussitôt, m’arrachant de nouveaux cris. Mon supplice s’acheva enfin. Elle me montra sa main, maculée de merde et de sang, qu’elle essuya sur mes cheveux. « La prochaine fois, je te la ferai lécher. Va te nettoyer le cul maintenant, je ne veux pas de sang sur mes draps. » Elle m’amena à la salle de bain, me poussa sous la douche, ouvrit les robinets et, visant mon anus meurtri, dirigea le jet d’eau dans mon cul toujours ouvert. L’eau était tiède, et je la sentis me remplir les intestins. « Pousse un peu, ça va ressortir. » Je sentis en effet l’eau ressortir et couler le long de mes jambes. Je continuai à me laver, de la tête aux pieds. J’étais propre, mais je me sentais souillée. Elle me sécha elle-même, me ramena sur le lit et dit : « Je te remercie, petite salope, tu m’as procuré beaucoup de plaisir. Un de ces jours il faudra que je te fiste jusqu’au coude. Ou alors des deux mains ! Peut-être que je te mettrai mon pied au cul. » Curieusement, le nom dont elle m’affublait me dérangeait davantage que la douleur qu’elle venait de m’infliger. Je me blottis toutefois contre elle, elle éteignit la lumière et nous nous endormîmes. .
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