1. Les désirs d'Amory


    Datte: 27/08/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... de ce piercing, plus dure qui faisait une légère pression me rendais fou, l’excitation était à son comble, et je sentais qu’une nouvelle érection me venait. D’un coup, mes mains allait se poser de chaque côté de son coup, et je l’attirai aussitôt pour l’embrasser. Ses baisers avait maintenant un arrière goût, celui de mon sperme que je venait de lui mettre sans avoir pu me retenir, mais qu’il n’avait pas chercher à éviter, bien au contraire. Je ressentais à nouveau le désir de l’embrasser, de ressentir ses piercing me caresser, et de rouler ma langue autour de la sienne. Cet arôme inconnu me plaisait, l’effluve de la découverte de notre intimité, de l’exploration notre sexualité, d’une nouvelle face de notre amitié qui ne pouvait que nous rendre plus complice que jamais. Je commençais à me calmer, je respirais plus lentement et mon coeur ralentissait, sans pour autant cogner moins fort. Je me redressais en appuis sur les coudes, ses lèvres quittaient les miennes et nous regards se croisèrent, nous sourions, reprennant nos respirations. Reprenant lentement mes esprits, je pris conscience de ce que nous venions de faire, et j’étais tout à coup troublé et gêné. Ce sentiment mélangé au reste de l’excitation, je ne savais pas trop quoi dire. Après avoir une nouvelle fois poser mes lèvres sur les siennes, je ne trouvais rien d’autre à dire que « merci » dans un murmure. Je me sentais ridicule d’avoir dit ça quasi immédiatement, et je pensais « merci….? mais quel con t’avais pas ...
    ... mieux que ça…. ». La réaction d’Amory me surpris, j’eu pour seul réponse « chuuuut, laisse toi faire ». Il guida alors mes mains sur son corps, tout en me faisant m’allonger et recommencions à nous embrasser. L’excitation reprenait de plus belle, et j’entrepris directement de caresser ses fesses et je titillais de nouveau petit trou de la main droite, qui semblait plus souple et dilaté qu’auparavant. Je tenais son sexe dans l’autre main, et je commençais à le branler délicatement, sentais que son gland se décalotait pendant qu’il se laissait aller à des mouvements de va et vient. Amory tenait quand à lui ma queue qu’il branlait à la cadence de ses va et vient, et je sentais que mon gland touchait son petit trou de plus en plus au fur et à mesure que l’excitation montait. Il se dressa et ouvrit alors le tiroir de la table de nuit pour prendre un tube de lubrifiant, et me jeta un regard ou je pouvais lire la suggestion. Il souriait d’avantage, ouvrir le tube, et en mit sur ses doigts pour aller l’étaler sur mon sexe tendu. La fraicheur du gel m’envoya une décharge à l’idée de poursuivre l’aventure. Il repris du gel qu’il plaçait alors sur son anus. Il posa la tube, et repris mon sexe et le dirigeait vers son intimité. Je sentais qu’il pressait son entrée sur mon gland qui commençait à s’enfoncer. A la progression lente de la pénétration et à la vue de son expression, je compris que ce devait être la première fois qu’il se faisait sodomiser, et je décidais de ne pas bouger afin de ...
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