Soumission
Datte: 28/08/2019,
Catégories:
jouet,
fépilée,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
Oral
fdanus,
jeu,
sm,
attache,
yeuxbandés,
fouetfesse,
fsoumisah,
... pas qu’il attendait quelque chose d’elle, qui, visiblement ne venant pas, fit dire à Gilles : — Décide toi-même de ta punition. Élodie sursauta. Une punition ? Pourquoi ? — Je… je ne comprends pas, Maître, dit-elle en cambrant les reins comme s’il venait déjà de la frapper.— Tu n’es même pas capable de te souvenir du dernier ordre que je t’ai donné ! s’exclama-t-il. Tu portes bien peu d’attention à mes exigences ! Élodie se crispa sous le ton déçu de son maître. Elle tenta de se remémorer et soudain se souvint. Elle fut sincèrement désolée de son erreur. Elle souffla : — J’aurais dû vous remercier. Je regrette, Maître. Elle avait tellement mal qu’elle se voyait d’ailleurs mal remercier son maître. — Commence par corriger ton erreur, dit-il comme s’il lisait en elle.— Merci, Maître, souffla Élodie malgré la brûlure dans le bas de son dos.— Maintenant, la punition. Que crois-tu mériter ?— Je ne sais pas, Maître.— Réponse non recevable, je double celle que j’avais prévue.— Pitié, Maître, non ! Élodie supplia, mais elle savait bien que son maître ne changerait pas d’avis. Il l’aurait d’ailleurs déçue si cela avait été le cas. — Tu vas goûter au chat à neuf queues, annonça-t-il. C’est un peu comme un martinet, sauf qu’il y a des nœuds au bout des lanières. Tu vas vite sentir la différence. Dix coups. Il abattit le premier coup. La différence fut d’abord sonore et Élodie comprit d’où venait le nom de l’instrument de torture : on aurait cru entendre le feulement d’un chat. ...
... Ensuite, la sensation fut la même mais les lanières se retirèrent plus vite, mettant en contact leur bouts arrondis suivis d’une corde émoussée avec la peau. Elle avait l’impression d’une multitude de petites griffures qui recouvrirent son dos. Elle se cambra et hurla. — Ne crie pas ! ordonna-t-il. Ne crie jamais lors d’une punition.— Oui, Maître. Il frappa encore, et encore. À un moment, il lança : — Combien en as-tu reçu pour le moment ? Élodie n’en avait pas la moindre idée. Elle était trop concentrée dans sa souffrance pour cela. — Comment puis-je savoir si j’applique correctement la punition si tu ne comptes pas ! Tu ne crois tout de même pas que c’est moi qui vais faire cet effort !— Non, bien sûr, Maître, pardon.— Compte à voix haute. On recommence !— Non, Maître, pitié ! Il frappa. — Compte ! s’exclama-t-il.— Un, souffla Élodie.— Je n’ai rien entendu ! gronda-t-il. Elle répéta plus fort et son dos eut droit à une nouvelle griffure. — Deux, lança-t-elle. Elle alla jusqu’à dix, fière de son exploit. Elle avait tenu. Elle avait accepté la punition sans broncher. Son maître pouvait être fier. Elle se demanda ce qu’il comptait faire ensuite. Allait-il la libérer pour la câliner après cette souffrance comme il le faisait presque à chaque fois ? Au lieu de cela, après un moment d’attente, il lança avec un soupir : — Décide toi-même de ta punition. Cette fois, Élodie se maudit elle-même. Elle aurait encore dû le remercier. Elle s’en voulut de sa stupidité. — Pitié, Maître, je n’en ...