1. Soumission


    Datte: 28/08/2019, Catégories: jouet, fépilée, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, Oral fdanus, jeu, sm, attache, yeuxbandés, fouetfesse, fsoumisah,

    ... peux plus. Non, par pitié.— Ta punition ! insista-t-il. Élodie gémit et tenta de se faire petite mais les liens lui interdisaient tout mouvement. Elle restait offerte au bon vouloir de son maître. Si elle ne décidait pas rapidement, il doublerait la punition prévue. — Dix coups ? proposa Élodie.— Avec quel instrument ? demanda Gilles.— Le même ? Le chat ?— Non, on va changer, mais d’accord pour dix coups. Il changea d’instrument mais ne la prévint pas de celui choisi. Elle ne put réfréner un cri lorsque le cuir du martinet s’écrasa sur ses fesses. Il la frappa une seconde fois puis lança : — On recommence. Tu n’as pas compté ! Élodie était en larmes sous le bandeau. Elle n’en pouvait plus mais elle voulait tenir. Lorsqu’il la frappa sur ses fesses encore douloureuses, elle compta et tint jusqu’au dernier coup. Cette fois, elle n’oublia pas les ordres donnés : — Merci, Maître.— Tu vois, quand tu veux, tu peux.— Oui, Maître. Merci de m’apprendre l’obéissance. Gilles lui fit relever la tête et l’embrassa. Puis il se plaça devant et lança : — Je veux jouir dans ta bouche. Élodie, qui avait espéré un câlin, s’exécuta tout de même. À l’aveugle, elle trouva le sexe de son maître et lui donna le plaisir demandé. Puis, il s’éloigna et Élodie pria intérieurement pour qu’il la libère. Mais là encore, elle n’eut pas la suite désirée car elle entendit pour la troisième fois son maître annoncer avec un soupir : — Décide toi-même de ta punition. La fellation était une « activité » pour ...
    ... laquelle elle aurait à nouveau dû le remercier. Cette fois, elle s’en voulut jusqu’au bout des ongles. C’était de sa faute s’il allait la frapper. Elle l’obligeait à agir de cette manière. Pourtant, les ordres n’étaient pas si difficiles à suivre. — Je suis sincèrement navrée, Maître.— Je ne doute pas que tes regrets soient sincères, ma soumise, mais ça ne change rien.— Je suis désolée de vous obliger à me punir. Je pense que… cinq coups de cravache feraient une punition à la hauteur de la faute commise. Elle l’entendit bouger et la cravache lui cingla les fesses. Elle compta cette fois immédiatement, ne cria jamais et à la fin, remercia son maître. Elle n’était plus que de la chair brûlante. Gilles la libéra et la prit dans ses bras. Élodie le serra fort, comme s’il était une bouée de sauvetage à laquelle se raccrocher. Il l’embrassa, déposa des baisers sur son visage, caressa ses cheveux, lui dit des mots rassurants puis souffla : — Dors. Tu meurs de fatigue. Il la coucha sous les couvertures chaudes, lui plaça correctement l’oreiller sous la tête, lui retira les bracelets aux poignets et aux chevilles, l’embrassa puis sortit pour la laisser se reposer. Lorsqu’elle s’éveilla, Élodie eut d’abord du mal à savoir où elle se trouvait puis elle se remit. Elle s’assit mais la douleur la fit vite se lever. Avant de sortir de la chambre où elle était seule, elle prit une douche et s’habilla. Elle sortit ensuite et trouva Gilles dans le salon, devant l’ordinateur. Il sourit en la ...
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