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Boire un petit coup c'est agréable
Datte: 23/06/2017, Catégories: fh, ff, fhh, 2couples, couple, couplus, nympho, fête, Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, confession, entrecoup,
... que comme un mari attentionné mais cela fait si longtemps que j’attends. Je la bourre. Je la baise. Je la baratte. Je la fourre. Je la besogne. Enfin en un mot : je l’encule dur. Je remercie le dieu du cul de m’avoir laissé jeter ma gourme avant car en temps normal j’aurai lâché la purée rapidement, tellement je suis à l’étroit. Mais grâce à ma "salope éphémère" de femme qui m’a déjà vidé les couilles plusieurs fois, je me sens inépuisable. Les gémissements qui s’échappent de sous la robe ne cessent pas, mais aucune protestation ne vient me demander d’arrêter. C’est ma queue qui décide. Elle libère mes derniers centilitres de foutre, juste assez pour baptiser le lieu et rendre mes derniers va-et-vient plus fluides. Après, je m’effondre sur le lit, le sexe douloureux de tant de frottements. Stéphanie réapparait de sous la robe. Son visage est marqué, les yeux cernés, le maquillage défait délimitant les endroits où ma semence a coulé. Je m’endors. oooo0000oooo Il fait jour. J’ouvre les yeux. Juste à côté Stéphanie dort encore. Elle est couchée sur le côté. Son visage est celui d’un ange. Elle a dû aller faire un brin de toilette. Je me suis endormi à côté d’une nympho, une dingue du cul et je me réveille à côté de mon épouse, la Stéphanie que je connaissais avant. Qui aurait pu imaginer que l’alcool puisse transformer une personne ainsi. Est-ce possible ? Ma femme est-elle une nymphomane qui se contrôle en permanence ? Ou bien c’est l’alcool qui la transforme ainsi. Mais ...
... pourtant l’alcool est connu pour libérer pas pour créer une personnalité. Il faudra que je me renseigne. Elle ouvre les yeux. Je lui souris. — Bonjour ma femme.— Bonjour mon chéri. Elle bouge un peu, semble s’étonner. — Je ne sais pas ce que j’ai, j’ai mal au fes… Elle ne termine pas sa phrase. Je peux voir dans son regard l’étonnement et puis… — Oh ! J’ai honte… Je me souviens… C’est pas moi… C’est pas moi… C’est l’alcool… Je sais qu’il ne faut pas que je boive… Mais Laurent… J’ai peur qu’elle pleure. Aussi je m’approche et la prends dans mes bras. — C’est rien…— Mais non, ce n’est pas rien. Tu as vu ce que je deviens avec un verre. J’essaye de relativiser. De montrer le bon côté. — C’était une vraie nuit de noce. Cinq fois ! Une virginité ! Quel mari critiquerait ? Elle se love contre moi. — Mais tu ne me respecteras plus comme avant.— Mais si. Dis-moi plutôt. Cet effet de l’alcool sur toi, tu le connaissais ? J’imagine que c’est la raison qui t’empêche de boire.— Oui.— Tu le sais depuis longtemps ?— Je préfère ne pas en parler. Et manifestement pour changer de sujet : — Et le matin d’une nuit de noce, on fait quoi ? Et je sens sa main qui va chercher ma verge. Il suffit d’une caresse et je bande. — Voilà qui est mieux. Viens mon chéri, j’ai envie. Ce n’est plus la furie de la nuit, mais c’est tout de même une femme qui apprécie mes caresses alors qu’elle se tourne pour que je me glisse dans sa chatte, notre position fétiche du matin. Nous n’avions pas le temps pour un voyage de ...