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Boire un petit coup c'est agréable
Datte: 23/06/2017, Catégories: fh, ff, fhh, 2couples, couple, couplus, nympho, fête, Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, confession, entrecoup,
... noce, aussi dès le lundi nous sommes allés bosser. J’ai tout de suite pensé que la première question que lui poserait Laurent serait du genre "Alors la nuit de noce". Que répondra Stéphanie ? Lui donnera-t-elle des détails ? Sa sodomie ? Le nombre de fois ? Aussi je me souviens en évoquant Laurent la remarque que ma femme lui a faite alors qu’il lui donnait à boire : " Laurent, non, tu sais bien que… ". Lui devait être au courant. Deux jours après je m’arrange pour le rencontrer. — Alors cette nuit de noce ? me demande-t-il d’entrée.— Tu savais ?— Je savais quoi ?— Ne fais pas l’idiot, je te parle de Stéphanie et l’alcool.— Oui.— Mais comment ?— C’est tout simple. Son copain avant moi l’a fait boire sans lui dire. J’imagine que c’était juste pour jouer. Mais le résultat a été bien plus fort que prévu. Stéphanie s’est déchaînée. Tu sais maintenant ce que cela signifie. Elle s’est jetée sur tous les mecs disponibles. Dont moi. Après, elle a largué le gars qui l’avait fait boire et moi je l’ai récupérée.— Pourquoi elle ne m’en a jamais parlé ? Alors que toi tu le sais.— Mais parce qu’elle t’aime. Entre elle et moi c’était juste pour le fun. Avec toi c’est pour la vie.— Peut-être mais c’est un peu frustrant. Mais si elle ne buvait pas à l’époque, cela veut dire qu’elle savait déjà. Comment ? Tu sais ?— Je crois que c’est pendant une soirée entre ados, chez elle où elle avait invité des copines. Les parents n’étaient pas là et elles ont picolé. Tu devines la suite. Elle a même ...
... été chercher les godes que ses parents cachaient dans leur chambre, pour se baiser avec. C’est aussi à ce moment qu’elle a eu sa première relation avec une fille.— Première nouvelle.— Tu sais, Jean, c’est son jardin secret. Laisse-la venir spontanément. Si elle ne t’en parle pas c’est, je le répète, qu’elle t’aime et a peur de ton jugement.— C’est ridicule. C’est une maladie, pas une perversité affreuse. Et j’ajoute, me rappelant ma nuit de noce : — Avec bien des avantages. Il faudrait juste qu’elle puisse mieux contrôler…— C’est une autre histoire… Et nous nous séparons. Les mois passent. Nous ne reparlons plus du sujet. Il ne reste que des souvenirs et aussi la possibilité dont je ne me prive pas, de profiter de la virginité perdue, en enculant Stéphanie très souvent. Pourtant une sorte de poison se distille en moi. Le poison de la suspicion. Laurent que je considérais comme un ami avait été détenteur d’un secret sur ma femme que j’avais ignoré. D’une certaine façon chacune de nos rencontres me rappelait leur aventure qui avait commencé dans des conditions si particulières. Lors de soirées ou même de simples repas à quatre j’avais l’impression qu’ils étaient si complices que cela cachait quelque chose. Et s’ils étaient amants ? Je ne peux m’empêcher d’en parler à Lise, la femme de Laurent. — Tu ne trouves pas qu’ils sont de plus en plus complices. Je me demande s’ils ne seraient pas amants ? Tu ne crois pas ?— Non, je ne pense pas. C’est juste qu’ils se connaissent bien et en ...