Ma cheffe était enceinte !
Datte: 31/08/2019,
Catégories:
fh,
frousses,
extracon,
Collègues / Travail
enceinte,
volupté,
Oral
pénétratio,
fsodo,
... contins avec difficulté. Il fallait que j’agisse, et rapidement. — Je vais jouir en toi. Ecarte ta fente ! Elle comprit que cela urgeait et s’exécuta. Je pénétrai sa fente avec vigueur, cherchant néanmoins son point G du bout de ma verge, pour qu’elle parte avec moi ! Nos étreintes durèrent une minute tout au plus, nous emmenant sur des sommets d’où nous ne redescendîmes qu’après avoir joui ensemble. Par saccades mon jus d’amour sortit pour se répandre en elle. Notre orgasme fut synchrone. Je me relevait, pendant qu’elle se retournait, toujours à quatre pattes, pour m’aspirer le sexe, qui déjà ramollissait. Puis la lumière jaillit. La lampe principale du bureau s’alluma, la porte s’ouvrit énergiquement, laissant apparaître une femme de ménage encombrée par le tuyau de son aspirateur. Un étonnement pouvait se lire sur le visage de la femme de ménage. Puis elle s’exclama : "Oh ! Et avec une femme enceinte en plus ! Oh pardon excusez-moi." Puis celle-ci ferma la porte et l’on entendit ses pas s’éloigner dans le couloir. Sandra se rappocha de moi et me serra comme elle le pouvait dans ses bras, car son ventre la gênait. Nos deux corps nus en contact intime demandaient, malgré la fatigue, d’autres tributs de sensualité. Nous nous rhabillâmes en ...
... douceur, continuant à nous bécoter par intermitence. Sandra exprima, en se mordillant les lèvres, sa crainte de voir colporter ce que la femme de ménage avait vu. Je la rassurais en lui disant qu’elle ne croisait jamais nos collègues dans la journée et qu’il n’y avait aucun risque que des bruits courent auprès d’eux. Nous sortîmes en douce et Sandra, vu l’heure, me proposa de me racompagner en voiture chez moi. De plus elle me dit, chemin faisant, au creux de l’oreille, que de savoir mon adressse pourrait s’avérer utile pour des "réunions tardives" ou des "séminaires d’entreprise" tombant comme par hasard le week-end ! Notre idylle continua, et nos ébats devinrent de plus en plus torrides. Je la retrouvais même la veille de son accouchement à la maternité, car elle devait subir un déclenchement d’accouchement. J’attendais dans ma voiture son signal. J’arrivais à la limite de l’heure finale des visites, puis nous refîmes l’amour dans les sanitaires de sa chambre individuelle. Le mois suivant son accouchement, je fut licencié de l’entreprise et elle ne tarda pas à l’être aussi. Nous nous cotoyâmes encore pendant de nombreuses années, nous revoyant pour ses grossesses afin de redevenir amants, comme avant. C’était notre doux péché, notre doux vice.