Erreur de jeunesse
Datte: 31/08/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... écartée de moi à la première goutte de sperme qu'elle avait senti sur ses doigts. J'avais l'impression de mourir, leurs éclats de rire étaient lointains, je sentais à peine la main d'Isabelle s'essuyer sur ma cuisse, je l'entendais à peine plaisanter en m'accusant d'être un gros dégueulasse. Je commençai à me replier comme un fœtus, je sentais que mes attributs s'étaient ratatinés et fripés d'une façon grotesque, comme si je les avais plongés dans l'eau glacée. Je me sentais si vulnérable et pitoyable. Les deux filles profitaient de ma faiblesse, écartaient mes jambes et titillaient la petite crevette qui me servait de virilité, et bien sûr continuaient à rire de plus belle... Je ne résistais plus, je n'en avais plus rien à faire. Isa, à l'aide de son pouce et de son index, délicatement, décalotta mon gland tout rose et vulnérable, et l'observa un instant. Puis, de sa main droite, encercla la base de mon sexe et de mes couilles, et serra le tout fortement, tirant douloureusement ce petit paquet vers elle. Elle approcha son visage en me regardant dans les yeux, un éclair de sadisme illuminant son regard. - Maintenant, si tu veux qu'on te détache, tu vas promettre de nous obéir, menaça Isabelle... Répète : « Isabelle et Virginie sont les plus belles et je jure de faire tout ce qu'elles me demanderont » ! - Isabelle et Virginie sont... - Répète, insista Isabelle tirant sur mes parties de plus en plus fort ! Sinon je te les arrache ! J'ai donc répété, avec une petite voix. ...
... Satisfaite, Isabelle relâcha son étreinte, décidée à me détacher. Virginie n'était pas d'accord, mais Isa finit par la convaincre que dans mon état, j'étais inoffensif et que je ne risquais pas d'aller bien loin... Dès que mes mains ont été libérées, je me suis redressé et me suis précipité vers le bord du toit effondré, pour essayer de grimper afin de récupérer mes vêtements. Je sautai pour agripper des deux mains la poutre la plus proche de l'ouverture, et me balançai, essayant de l'accrocher avec une jambe. Virginie se saisit immédiatement de ma bite et tira dessus de toutes ses forces, ce qui me fit lâcher prise, m'envoya bouler dans le foin, et fit éclater de nouveaux fou-rires. - Ne cherches pas à te sauver, m’avertit Virginie ! Si tu ne fais pas ce qu'on te dit, ça va très mal se passer... - Allez debout, ordonna Isabelle ! Viens par ici... Gentil garçon... Je me rendais compte que je ne pourrais jamais grimper sur le toit, à moins qu'elles ne me laissent faire. J'étais à leur merci, à bout de nerf, mais au fond de moi je trouvais que cette situation n'était pas si déplaisante que ça. Je sentais la chaleur de l'excitation revenir dans mon ventre, je voyais la satisfaction de se sentir toute-puissante se peindre sur leur visage. Je me suis donc relevé, pour me tenir face à elles, les deux mains protégeant fermement mon entre-jambe de leurs regards intrusifs. - Non non, pas comme ça, dit Isabelle... Les mains dans le dos ! - Ouais vas-y, ramène tes p'tites coucougnettes ...