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Bal masqué (14)
Datte: 02/09/2019, Catégories: Transexuels
... des Impressionnistes. Même avec quelques centimètres de talons seulement, Anaïs n’était pas très à l’aise. Je m’assis à côté de mon amante, Joëlle en face. Le repas se déroula tranquillement. On attendait le dessert lorsque je décidai de taquiner Anaïs et la pousser dans ses retranchements. Je posai ma main sur son genou et remontai le long de sa cuisse. Anaïs se tortilla, repoussa ma main. Joëlle s’amusait comme une folle. Malgré ses réticences, j’atteignis son intimité que je caressai à travers le tissu. Et même comme ça, Anaïs était particulièrement sensible. La tentation était trop grande et je m’appliquai à exciter son minou. Elle tentait de me repousser parce que la décence du lieu l’imposait mais d’un autre côté, le plaisir qu’elle prenait lui commandait de me laisser faire. Le serveur arriva. Anaïs résistait difficilement à ne pas montrer son trouble. Je cessai ma caresse. Anaïs souffla. — Salope ! murmura-t-elle en m’embrassant sur la joue. — Vu comment tu as aimé, tu ne vaux pas mieux que moi. Nous rentrâmes enfin. Joëlle décréta qu’elle était fatiguée et qu’elle allait se coucher. — Nous aussi, répondit Anaïs. Sitôt la porte fermée, elle me poussa sur le lit, collant sa bouche sur la mienne tandis que sa main passait sous ma jupe pour aller chercher ma queue déjà tendue. — Tu ne perds pas de temps, dis-je — Non. Je dois rattraper celui que j’ai perdu. Je la repoussai et me retrouvai au-dessus d’elle. Elle me regarda, les yeux brillants de désir et de gourmandise. ...
... Je l’embrassai puis on se mit en soixante-neuf. Elle avala ma queue tandis que je dévorai sa chatte. Un éclat de lumière me fit comprendre que Joëlle et ses penchants de voyeuse n’étaient pas loin et nous épiaient discrètement. Anaïs jouit une première fois sous ma langue. Mais je ne la laissai pas reprendre ses esprits. Je rompis la position, la plaçai sans ménagement en levrette et l’enfilai tout de go. Anaïs cria, de plaisir bien sûr. Mais j’ignorai ses plaintes et la baisai avec une douce violence. Elle fourra sa tête dans l’oreiller pour étouffer ses cris mais ses mains qui cherchaient à s’agripper au drap témoignaient du plaisir qu’elle prenait. Encore une fois, je me retirai pour éjaculer sur son joli cul. Un léger mouvement attira mon regard. Joëlle venait de prendre son pied et était repartie. Nous refîmes l’amour deux fois. Anaïs prenait de plus en plus d’assurance. Et bien qu’elle s’en défende encore, j’étais de plus en plus persuadée qu’elle serait comme sa mère. Le lendemain, comme je l’avais promis, je m’occupai de sa toison intime. Je lui fis un rasage en bonne et due forme qui se termina en broute-minou. Je l’initiai ensuite aux plaisirs des bas et des porte-jarretelles. Le dimanche fut plus calme. Nous restâmes tous les deux à discuter ou regarder la télé. Mais toutes les bonnes choses avaient une fin et il fut temps pour moi de rentrer. Je quittai Anaïs avec la promesse de nous revoir très vite. Je fermai la porte de la maison. Mon cœur se serra. Anaïs me ...